Iskra
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Films dans la base
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Que m’est-il permis d’espérer ?
Vincent Gaullier, Raphaël Girardot, 2019
Dans le centre de premier accueil ouvert en novembre 2016 par la Mairie de Paris, des hommes sont en transit. Pendant quelques jours, ils se reposent de la rue où ils ont échoué en arrivant en France, puis sont envoyés en car dans d’autres centres…
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Stéphane Mercurio, 2019
Un documentaire sensible sur le passage d’un sexe à l’autre…sur l’acceptation.
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Jacques Kébadian, Michel Andrieu, 2018
Michel Andrieu et Jacques Kebadian nous plongent au cœur des évènements de Mai 68. A travers un film d’aujourd’hui, ils nous font revivre la colère des ouvriers, des étudiants et des jeunes opposés à la morale et au pouvoir en place.
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Stéphane Mercurio, 2017
En suivant les répétitions du spectacle de Didier Ruiz, monté avec d’anciens détenus de longue peine, ce documentaire raconte la prison, la façon dont elle grave dans les chairs des marques indélébiles et invisibles.
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Edie Laconi, 2016
Au Centre parental d’Hérouville Saint-Clair (Normandie), on apprend à devenir une bonne mère, à intégrer les normes d’une parentalité idéale. Pléthore d’assistantes sociales, d’éducatrices et de psychologues distribuent conseils, avertissements, bonnes et mauvaises notes. Menacées de voir leurs enfants placés en famille d’accueil, deux mères à peine sorties de l’adolescence et dépourvues de tout repère social affrontent comme elles peuvent les rigueurs de ce huis clos.
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Raphaël Girardot, Vincent Gaullier, 2016
Dans un abattoir, symbole de ce monde du travail qui cache ses prolétaires et le “sale boulot”, des femmes et des hommes oscillent entre fierté du savoir faire et fatigue du labeur. Ils parlent pénibilité, dangerosité et précarité. Ils sont découpeurs, tueurs, dépouilleurs, estampilleurs, saigneurs… Seigneurs parce que ces ouvriers portent toute la noblesse de l’être humain, en même temps que sa lente dépréciation.
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Stéphane Mercurio, 2015
Un film impressionniste, fait de corps, de gestes, de récits de la relation des hommes à la paternité et à la filiation. Seule femme, la cinéaste s’est glissée avec sa caméra dans l’intimité de ces hommes au cours des séances de prises de vue « père et fils » du photographe Grégoire Korganow, pour saisir quelque chose des hommes. Mission impossible et pourtant…
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Marta et Karina, en discrète compagnie
Philippe Crnogorac, 2015
Dans la chambre à coucher de Marta et Karina, les hommes défilent. Pas de changement d’habit, un tissu rapidement tiré sur la fenêtre, un drap jeté sur le lit : les négociations et les passes sont comme une parenthèse au sein des activités quotidiennes. C’est dans cet interstice, avant et après, que le film s’installe. Leur voix digne et précise dessine, parfois avec gravité, parfois avec humour, les contours de leur vie et de leur métier qui, entre choix et nécessité, leur permet d’accéder à une autonomie sociale et financière.
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Damien Fritsch, 2013
Alors que toutes les caméras du monde ont détourné leurs objectifs, qui sont aujourd’hui les Sarajéviens ? Comment se projeter dans le futur lorsque les fondements de ce qui crée une société ont éclaté ? En explorant la mémoire des Sarajéviens, nous cheminons entre passé, présent et avenir en évoquant leurs espoirs et leurs doutes dans une ville en pleine mutation. Une quête cinématographique pour recréer une image contemporaine de Sarajevo.
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Anne Kunvari, 2012
Depuis 14 ans, Anne luttait contre un cancer dont elle savait qu’elle ne guérirait plus. Avec la réalisatrice, une amie de longue date, elles décident de filmer ce que signifie la vie avec un cancer chronique. Mais très vite, la maladie rattrape Anne. Elle tente de préparer sa fin de vie, elle qui veut choisir « le moment et la manière » de mourir. Mais, face à une loi qui ne le permet pas, la réalisatrice filme une dépossession.
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Stéphane Mercurio, 2011
Pour la première fois, après trois ans d’existence, le CGLPL (Contrôle général des lieux de privation de liberté) accepte qu’une équipe de tournage le suive dans son travail, minutieux, essentiel de contrôle des droits fondamentaux dans les prisons, hôpitaux psychiatriques, commissariats…
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Christine Thépénier, Jean-François Priester, 2011
Le vain combat des 140 ouvriers de l’usine de Legré-Mante, leader sur le marché mondial d’acides tartriques…
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Samir Abdallah, Khéridine Mabrouk, 2011
La Palestine ressemble de plus en plus à une métaphore au moment où Samir Abdallah et Khéridine Mabrouck pénètrent dans Gaza, le 20 janvier 2009. Au lendemain de la dernière guerre israélienne contre Gaza, ils y découvrent l’étendue de la « Gaza Strophe ».
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Abdelkrim et la guerre du Rif (La)
Daniel Cling, 2010
La guerre du Rif s’est déroulée officiellement de 1920 à 1926 pour mater la rébellion d’une tribu conduite par Abdelkrim au fin fond du Maroc. Qui se souvient de cette guerre ?
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Edie Laconi, 2009
La déficience et le handicap mental sont-ils solubles dans le travail ? Ici, à l’institut médicoéducatif, de jeunes pensionnaires apprennent à travailler. Rétifs, dociles, mutiques, tendres, violents, ils se forment, ils produisent, ils se soignent, cependant qu’ils rêvent, qu’ils aiment ou se révoltent.
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Gaza-strophe, le jour d’après…
Samir Abdallah, Khéridine Mabrouk, 2009
Des dizaines de témoins des exactions israéliennes témoignent devant la caméra. Leurs récits frappent par la précision des faits et nous font entrer dans le cauchemar palestinien
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Naël Marandin, Charles Daubas, 2007
Au pied du Stade de France, la mairie de Saint-Denis a lancé la réhabilitation du quartier Cristino García. Ses habitants - des immigrés aux revenus modestes - sont pris dans la tourmente du développement immobilier.
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Bénédicte Mourgues, 2007
Christian et Mireille Disant sont agriculteurs « bio » depuis 25 ans, à Cadenet, dans le Lubéron. Il y a 10 ans, ils ont tout perdu. Malgré cela, leur rêve de paysan a été plus fort et ils se lancent dans ce qu’ils estiment être leur dernière chance : une Amap.
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Stéphane Mercurio, 2007
Au centre de détention de Rennes, comme à côté de presque toutes les prisons françaises, il y a un lieu d’accueil pour les familles de détenus. On vient là avant et après le parloir. Et l’on attend. A côté…
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Martin Hardouin Duparc, 2006
François Ruffin est le fondateur de Fakir, journal indépendant d’information, créé en opposition à l’indigence de la presse régionale picarde en général, et à celle du journal municipal en particulier. Ruffin nous propose son point de vue sur la parole publique, les médias dominants.
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Daniel Cling, Pascal Cling, 2005
« Il faudra raconter » disaient ceux qui mouraient dans les camps. Certains, parmi les rares rescapés d’Auschwitz ont encore la force d’aller au devant des jeunes générations, parler sans relâche dans les classes, de la primaire à la terminale. Qu’en sera-t-il demain quand nous n’aurons plus que des traces ?
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Louise, son père, ses mères, son frère et ses sœurs
Stéphane Mercurio, Catherine Sinet, 2004
Un dîner, bruyant, drôle. Autour de la table, une bien curieuse famille, celle de Louise : son père, ses mères, la femme de son père, ses frères et sœurs. Françoise et Gérard s’aiment depuis 44 ans. Ils ont trois enfants. Sybille et Sylviane s’aiment depuis 23 ans. Elles voulaient un enfant. Elles ont demandé à leur amie Françoise de leur prêter Gérard, son mari. Celle-ci a accepté.
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Hôpital au bord de la crise de nerfs
Stéphane Mercurio, 2003
Plongée au cœur de l’institution hospitalière croisant deux niveaux de perception de la crise : d’un côté la direction, de l’autre les soignants en prise directe avec les malades. Entre deux réunions sans fin, discussions, incompréhension et un même discours : l’hôpital est au bord de la rupture.
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Pierre Demoy, Frédéric Harlez, 2003
5 mai 2002, jour du 2ème tour de l’élection présidentielle. Face à face, Jean-Marie Le Pen et Jacques Chirac. Dans la cave d’un immeuble parisien.
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Bonne longueur pour les jambes (La)
Christian Rouaud, 2003
C’est l’histoire de Patrick et Nathalie, un couple de « personnes de petite taille », et d’Éric, un autiste dont Patrick est le tuteur depuis 24 ans. Dans notre société « normale » où le geste vers autrui est souvent furtif et chargé de bonne conscience, Patrick et Nathalie présentent l’image dérangeante d’un engagement vital vers l’autre.
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Jean-Louis Comolli, Ginette Lavigne, 2003
En décembre 95, il y avait des grèves. Sept ans ont passé. Les jours de décembre se sont éloignés à toute vitesse, point brillant au fond de quel tunnel ? Cinq cheminots sont au coeur du film tourné à l’antenne traction de Paris-Nord. Des luttes d’hier aux luttes d’aujourd’hui, le film sera-t-il passeur de la réflexion ? ;
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Anne Kunvari, 2002
Une imprimerie contribue à la réinsertion de personnes en difficulté tout en fonctionnant avec les même contraintes qu’une entreprise ordinaire.
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Sur les cendres du vieux monde
Laurent Hasse, 2001
Film à la première personne, Sur les cendres du vieux monde raconte avec beaucoup de sincérité les retrouvailles avec sa famille et ses copains d’un enfant du pays qui revient dans sa région natale après être parti étudié. Radiographie d’une véritable faillite, celle d’un univers construit sur le travail. Faillite car de travail, il n’y en a plus, ou de façon intérimaire.
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Ex-moulinex « Mon travail c’est capital »
Raphaël Girardot, Marie-Pierre Brêtas, Laurent Salters, 2000
En juillet 1997, le site Moulinex de Mamers dans la Sarthe ferme ses portes. Nicole, Pascale, Josianne, Maurice et Dominique ont tous travaillé plus de 20 ans dans l’usine. Du jour au lendemain tout bascule.
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Courbe sensible - Jean-Pierre Raynaud (La)
Jean-Yves Carrée Lebesque, 2000
Dans le cadre de la mission 2000 en France, Jean-Pierre RAYNAUD a conçu un projet artistique pour La Source (créée par Gérard GAROUSTE et Christian GOTTI) qui intègre pour la première fois une participation extérieure : celle de 2000 jeunes de Haute Normandie.
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Katya Bellan, 2000
Une ville, des ballades, l’écoute d’une parole décalée, parfois délirante, sur Bondy, une cité de Seine-Saint-Denis. Ce film a été fait avec les patients de l’hôpital de jour de la rue Dubreuil à Bondy.
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Ex-Moulinex. Mon travail, c’est capital
Marie-Pierre Brêtas, Laurent Salters, Raphaël Girardot, 2000
En juillet 1997, le site « Moulinex » de Mamers dans la Sarthe ferme ses portes. Nicole, Pascale, Josianne, Maurice et Dominique ont tous travaillé plus de 20 ans dans l’usine. Du jour au lendemain tout bascule.
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Anne De Galzain, 1999
Le film parle de la résistance de ce peuple en lutte pour sa survie et pour la souveraineté du Pays Basque.
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Dominique Voynet, au risque du pouvoir
Philippe Baron, Murielle Szac, 1999
1993-1998 : La trajectoire d’une simple militante qui, après des années de manifestations et de pétitions, passe de l’autre côté de la barrière, du côté du pouvoir.
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Carmen Guarini, Marcelo Céspedes, 1998
Plusieurs récits s’entremêlent, se déroulant à la fois au sein de la rédaction du journal argentin Cronica et dans la ville de Buenos Aires. Ou quand les rubriques des faits divers traduisent, mieux que les rubriques politiques, la situation sociale et politique du pays, en proie à des mutations brutales et à un libéralisme forcené.
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Stéphane Mercurio, 1997
Au travers de l’histoire de Joseph, Rosalie, David, Lou et Nathalie qui tentent - en retrouvant un « chez soi » - de recommencer une vie « normale », le film montre ce qu’est l’exclusion non pas au moment de la dégringolade mais au moment où s’offre une chance de la quitter.
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Jean-Jacques N’Diaye, 1996
Toulouse, une journée de décembre 1995, manifestation interprofessionnelle, intersyndicale contre le plan Juppé. Une nuit avec le personnel gréviste du centre de tri postal de Toulouse-Matabiau.
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À Bamako les femmes sont belles
Christiane Succab-Goldman, 1995
Rencontre sensible et respectueuse des femmes de Bamako et de Ségou qui construisent le Mali. Une vingtaine d’entre elles, de milieu et de niveau d’éducation différents, parlent de leur quotidien et le film fait ressortir la force de chacune.
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Luc Decaster, 1994
Dans quelques années, que restera-t-il de la mémoire de ces « petites gens » qui ont sillonné usines et quartiers ? Ces militants de base du parti communiste français. Que sont devenus les mentalités mais aussi les désirs de ces oubliés de l’Histoire, hier forts de leurs arguments et soudainement fragilisés par l’effondrement de leur univers ? Une histoire collective, mais aujourd’hui surtout une histoire individuelle, intérieure.
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Dominique Cabrera, 1994
À la poste, les habitants des 4000 à La Courneuve attendent leurs allocations. L’argent circule, l’argent manque. Les jeunes postiers, salariés ordinaires, reçoivent de plein fouet le choc de la pauvreté de l’autre.
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Dominique Cabrera, 1993
Réjane fait le ménage dans une tour du Val Fourré. En l’écoutant, en regardant ses gestes et en suivant ses pas, on voit ce que c’est qu’être aujourd’hui une femme de quarante-cinq ans sur un fil !
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Dominique Cabrera, 1993
Septembre 1992. Mantes la Jolie. Dans la foule et le bruit, les quatre tours de l’entrée du Val Fourré tombent. Quelques mois plus tard, on retrouve ceux qui disaient leur émotion du moment.
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Chris Marker, 1993
Au camp de réfugiés de Roska, à Ljubljana (Slovénie), un groupe de jeunes réfugiés bosniaques présente tous les soirs un « journal télévisé ».
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Chronique d’une banlieue ordinaire
Dominique Cabrera, 1992
Avant la destruction des tours HLM du Val Fourré, à Mantes-la-Jolie, certains habitants offrent à travers leurs témoignages, une réflexion sur l’habitat social en banlieue parisienne.
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Dominique Cabrera, 1990
Dans la pénombre d’une salle de spectacle, des visages écoutent… Une tour se dresse devant nous, vide, désossée. Un chapiteau est monté jusqu’au troisième étage, il y a un mur de scène de douze mètres, une vraie rue, des appartements éclairés, mille vies possibles.
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Emmanuel Audrain, 1989
Des films intimistes de mémoire et d’amitié.
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Peter Schnall, 1984
Reportage sur l’occupation d’une usine, celle de l’embouteillage guatémaltèque, succursale de Coca-Cola, à Guatémala.
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Fred Mohr, Pierre-André Boutang, 1980
La danse africaine traditionnelle, symbole de l’intégration des êtres humains au sein de la nature, est devenue un produit de consommation touristique et les Africains dansent dans des boîtes de nuit sur une musique « disco ».
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Alain Schlick, 1979
Un jour en Lorraine des gens ont décidé de refuser l’arbitraire. Ils ont créé leurs propres radios et ont « causé dans le poste » des actions coup de poing, du passé, de la prochaine manif, du morceau de musique qu’ils trouvaient joli…
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Luce Guilbault, 1978
Le film se présente comme un grand 24 heures. Plusieurs femmes (et quelques hommes) expliquent les grandeurs et les misères des tâches domestiques non rétribuées.
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Chris Marker, 1977
Montage de documents pour la plupart inédits, couvrant dix années capitales de l’histoire mondiale : 1967-1977. Première partie, « Les mains fragiles : du Vietnam à la mort du Che, Mai 68 et tout ça ». Deuxième partie, « Les mains coupées : du printemps de Prague au Programme commun ».
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Paul Bourron, 1974
Images du coup d’état du 11 septembre 1973, la période le précédant immédiatement et la répression qui a suivi. Banc-titre d’après des photos de Raymond Depardon, Chas Gerresten et David Burnett.
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Groupe Medvekine de Sochaux, Bruno Muel, 1974
Une descente aux enfers : la chaîne chez Peugeot.
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Groupe Medvekine de Sochaux, 1971
Les jeunes immigrés de Sochaux démontent le mécanisme de l’exploitation dans leur vie quotidienne telle qu’elle a été organisée par Peugeot
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Jean-Pierre Thiébaud, 1971
Poème de Jean-Pierre Thiébaud, illustré par ses photos.
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Chris Marker, 1971
Portrait d’Alexandre Medvedkine et de son expérience ciné-train transformé en unité de production mobile pour filmer les problèmes de la révolution Russe et du développement économique en 1930.
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On vous parle de Prague : le deuxième procès d’Artur London
Chris Marker, 1971
Sur le plateau du tournage de « L’AVEU », les interviews d’Artur London, Jorge Semprun, Costa-Gavras, Yves Montand, Simone Signoret et de techniciens du film.
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Groupe Medvekine de Sochaux, Bruno Muel, 1971
Un film écrit, joué et rêvé par le Groupe Medvedkine de Sochaux, composé de jeunes ouvriers travaillant à la chaîne aux usines Peugeot et de techniciens du cinéma.
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Fernand Deligny, Josée Manenti, Jean-Pierre Daniel, 1971
Tourné dans les années 1960, « le Moindre Geste » suit les chemins de traverse d’Yves, « débile profond » . Entre fiction et documentaire, Fernand Deligny et ses proches ont créé plus qu’un film : un projet commun. Hors normes.
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On vous parle du Brésil : Carlos Marighela
Chris Marker, 1970
Portrait funèbre du résistant communiste tombé sous les balles de la junte fasciste brésilienne.
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Chris Marker, 1970
Portrait de François Maspéro, libraire et éditeur engagé à gauche, symbole et bouc émissaire de 68. Produit par SLON et conçu par Chris Marker, On vous parle… est un magazine de contre-information diffusé dans les circuits parallèles.
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Jacques Loiseleux, 1969
En mai 1970, à Avessac, en Loire-Atlantique, le C.D.J.A. et la F.N.S.E.A. deux syndicats d’exploitants agricoles décident d’engager une action de masse. C’est le film de cette exemplaire journée, illustrant l’action syndicale en milieu paysan.
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Groupe Medvekine de Sochaux, 1969
Colette Magny interprète une chanson tirée de son album Mai 68 et dédiée aux luttes ouvrières à l’usine Rhodiaceta de Besançon.
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Jean-François Lecomte, Catherine Moulin, 1968
Documents réunis par un groupe de cinéastes et d’ouvriers pour illustrer un scandale permanent, celui des conditions de vie et de travail aux usines Simca de Poissy.
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Réalisation collective, 1968
Cléon, l’une des premières usines à se mettre en grève en Mai 68. Les grévistes de l’usine Renault décrivent le quotidien de l’occupation et débattent de l’accès à la culture et de la reprise du travail.
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Anonyme, 1968
Films de banc-titre réalisés à la prise de vues à partir de documents photographiques de l’actualité nationale et internationale. L’expérience des ciné-tracts a été lancée en mai et juin 1968 à l’initiative du cinéaste Chris Marker.
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Chris Marker, Mario Marret, 1968
En mars 1967, à Besançon, une grève éclate aux établissements Rhodiaceta. Les revendications mises en avant ne concernent plus seulement les salaires ou la sécurité de l’emploi, mais le mode de vie que la société impose à la classe ouvrière.
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Chris Marker, 1966
« Avec ses quatre dromadaires Don Pedro d’Alfaroubeira courut le monde et l’admira. Il fit ce que je voudrais faire. Si j’avais quatre dromadaires. » Un photographe amateur et deux de ses amis commentent des images prises un peu partout dans le monde.