Paradise films
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Films dans la base
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Chantal Akerman, 2015
Ce film est avant tout un film sur la mère de la réalisatrice. Sur cette femme arrivée en Belgique en 1938 fuyant la Pologne, les pogroms et les exactions. Cette femme qu’on ne voit que dans son appartement. Un appartement à Bruxelles. Un film sur le monde qui bouge et qu’elle ne voit pas.
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Oriol Canals, 2009
Chaque année, comme s’ils participaient d’un étrange rituel printanier, des milliers d’immigrés viennent s’échouer en Espagne. Un autre naufrage les y attend : l’errance parmi les ombres. Depuis la marge d’un monde qui ne veut plus les voir, ces hommes, en se confiant à leur famille par lettre vidéo, nous regardent dans les yeux.
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Chantal Akerman, 2002
Dans ce film, l’ailleurs, c’est l’Amérique du Nord, et les pauvres sont pour la plupart des Mexicains. Ils sont passés pendant des années par San Diego mais le service d’immigration américain a réussi à arrêter le flux des illégaux et à le déporter dans l’Arizona.
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Chantal Akerman, 1999
Sud est une évocation de la violence raciste qui fait le quotidien américain. Comment un crime peut s’inscrire dans un paysage, tant mental que physique.
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Marylin Watelet, Szymon Zalesky, 1994
Comment fonctionne au quotidien le plus grand magasin de la Havane, Fin de Siglo, depuis l’écroulement du camp socialiste et le maintien du blocus américain ?
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Chantal Akerman, 1993
Chantal Akerman a fait un grand voyage à travers l’Europe de l’Est, la Russie, la Pologne, l’Ukraine filmant tout ce qui la touchait : des visages, des rues, des voitures, des bus, des gares, des paysages, des intérieurs, des queues, des portes, des fenêtres, des repas.
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Histoires d’Amérique : food, family and philosophy
Chantal Akerman, 1988
À New York, entre mémoire et oubli, plusieurs personnes livrent leur(s) histoire(s) d’émigrants juifs.
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Chantal Akerman, 1985
Dans l’univers coloré d’une galerie marchande, employés et clients ne vivent que d’amour : ils le rêvent, le chantent, le dansent. Les histoires s’entremêlent, commentées par les choeurs malicieux des shampouineuses et d’une bande de garçons désoeuvrés…
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Chantal Akerman, 1978
Anna est cinéaste. Au gré de ses voyages pour faire la promotion de son dernier film, elle fait des rencontres. En filigrane, derrière les confessions intimes des personnes qu’elle croise se profile l’ombre des grands événements collectifs, l’histoire de l’Europe au cours des cinquante dernières années.
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Chantal Akerman, 1977
Sur des travellings ou des longs plans fixes de New York (métro, rues, façades, passants) qui racontent en creux son quotidien, la cinéaste lit les tendres lettres envoyées de Belgique par sa mère. À la fois chronique familiale douce-amère et formidable portrait de ville, un film riche, puissant, bouleversant.
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Chantal Akerman, 1974
Dans sa chambre, une jeune fille se raconte en voix off. Durant plusieurs jours, elle écrit une lettre, se couche sur un matelas, se déshabille, se regarde dans un miroir, se lève, se rhabille, marche.