Gsara
• 26 rue du Marteau • B-1210 Bruxelles • Belgique • Tél : 32 2 218 58 85 • Fax : 32 2 217 29 02 • Mail : info@gsara.be
Films dans la base
-
Nous la mangerons, c’est la moindre des choses
Elsa Maury, 2020
Nathalie, bergère dans le Piémont cévenol, apprend à tuer ses bêtes. Le film suit les gestes d’une éleveuse qui aime et qui mange ses moutons avec attention.
-
Rosine Mbakam, 2018
Après avoir fuit le Liban où elle était réduite en quasi esclavage, Sabine, orginaire du Cameroun s’installe dans le quartier Matongé à Bruxelles, où elle est gérante d’un salon de coiffure, en attendant que sa situation se régularise. Dans ce salon de 8m2, Sabine et les autres coiffeuses s’organisent et s’entraident pour faire face à la clandestinité.
-
Benjamin Hennot, 2013
Ex-syndicaliste, Gilbert Cardon assure la permanence de Fraternités ouvrières, où il ne manque jamais d’envoyer les visiteurs se perdre dans son jardin-verger expérimental. Il y dispense des cours de jardinage et de permaculture.
-
Pierre-Yves Vandeweerd, 2008
Les quatre récits qui habitent ce film nous entraînent de la Belgique aux rives du fleuve Sénégal, des Ardennes françaises aux montagnes du Sahara occidental. Ils ont pour point commun de nous guider à la rencontre des dormants. Des hommes et des femmes évoluant entre deux mondes, celui des absents et celui des vivants, entre deux états, celui de l’éveil et celui du sommeil.
-
Pierre-Yves Vandeweerd, 2007
Le Cercle des noyés est le nom donné aux détenus politiques noirs en Mauritanie, enfermés à partir de 1987 dans l’ancien fort colonial de Oualata. Ce film donne à découvrir le délicat travail de mémoire livré par l’un de ces anciens détenus qui se souvient de son histoire et de celle de ses compagnons.
-
Sophie Bruneau, Marc-Antoine Roudil, 2006
En psychothérapie depuis janvier 2000, Madame Khôl travaillait comme femme de ménage pour cinq employeurs différents jusqu’au jour où elle fit une chute dans un escalier.
-
Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés
Marc-Antoine Roudil, Sophie Bruneau, 2005
Chaque semaine, dans trois hôpitaux publics de la région parisienne, une psychologue et deux médecins reçoivent des hommes et des femmes malades de leur travail.
-
Pierre-Yves Vandeweerd, 2004
En 1996, Vandeweerd est à Mankien au Sud-Soudan, pour filmer la guerre civile du pays, dans un acte d’engagement. Il découvre vite une réalité complexe, qui dépasse sa vision d’une lutte entre un gouvernement oppresseur et des minorités opprimées. De retour en Belgique, pris d’un sentiment d’impuissance, le réalisateur décide de ne pas montrer ses images. Depuis, Mankien a été massacré, probablement avec la complicité des sociétés pétrolières occidentales. Les personnes filmées sont pour la plupart mortes… Vandeweerd décide finalement d’en faire un film.
-
Collectif : Güldem Durmaz, Bénédicte Liénard, Valérie Vanhoutvinck, 2004
Septembre 2004, des cinéastes rencontrent un groupe de demandeurs d’asile. Ceux-ci s’emparent de la caméra et filment leur quotidien : des couloirs du foyer à la ville interdite à celui qui n’est encore rien.
-
Vincent Detours, Dominique Henry, 2004
Le Dr Nagesh assure quotidiennement une consultation gratuite à Mumbai (Bombay). Il y reçoit des séropositifs qui ne peuvent pas payer les traitements contre le VIH. Ces hommes, femmes et enfants affrontent la maladie et le rejet des autres.
-
Karin Rondia, 2001
C’est l’histoire de quelques jeunes, atteints de schizophrénie, qui préparent une émission de radio autour de leur maladie. Un film pour casser les préjugés.
-
Mieux vaut être riche et américain que pauvre et burkinabé
Philippe de Pierpont, 1993
Madi Ouedraogo, champion de boxe du Burkina Faso, est sélectionné pour présenter son pays aux Jeux olympiques de Barcelone. Mais des problèmes de visa l’empêchent d’arriver à temps pour la pesée des boxeurs…