Jean-Gabriel Périot
Films dans la base
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À travers le texte de Didier Eribon interprété par Adèle Haenel, ce documentaire raconte en archives une histoire intime et politique du monde ouvrier français du début des années 1950 à aujourd’hui.
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Une minute Lumière à Calais.
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La Fraction Armée Rouge (RAF), organisation terroriste d’extrême gauche, également surnommée « la bande à Baader » ou « groupe Baader-Meinhof », opère en Allemagne dans les années 70. Ses membres, qui croient en la force de l’image, expriment pourtant d’abord leur militantisme dans des actions artistiques, médiatiques et cinématographiques. Mais devant l’échec de leur portée, ils se radicalisent dans une lutte armée, jusqu’à commettre des attentats meurtriers qui contribueront au climat de violence sociale et politique durant « les années de plomb ».
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Sept minutes d’archives sur les Black Panthers sur fond de musique post-punk.
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Nos jours, absolument, doivent être illuminés
Le 28 mai 2011, des détenus chantent depuis l’intérieur de la maison d’arrêt d’Orléans pour le public venu les écouter de l’autre côté du mur.
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Art délicat de la matraque (L’)
De la sensibilité policière en milieux hostiles. Un film expérimental qui, en quatre minutes non-stop donne à voir des manifestations matées par des forces de l’ordre au mieux de leur forme.
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Parce que Jean-Gabriel Périot sait très bien qu’entre l’horreur et la façon de la représenter, il existe un gouffre immense, cet humaniste convaincu a voulu témoigner à sa façon de la plus grande catastrophe nucléaire que le monde a connue et raviver ainsi les flammes d’un souvenir honteux. « Nijuman no borei » rappelle avec une originalité remarquable la nuit du 6 août 1945, celle qui a vu la destruction d’Hiroshima.
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France, été 44, à la Libération