Nathanaël Coste

Géographe de formation, Nathanaël a co-réalisé plusieurs documentaires «  sans filets  ». Alors étudiant, il s’intéresse aux phénomènes sociaux et culturels générés par la mondialisation (Djembé : de la savane au bitume, 2003). Il réalise ensuite des films autoproduits sur des sujets liés aux modes de vie alternatifs (Agroconstruction : un brin de pratiques solidaires, 2011) mais aussi des films pour les associations qui militent pour la diffusion de l’agroécologie en milieu paysan dans le sillon de Pierre Rabhi (Les semences prennent le maquis, 2012  ; Reverdir le Sahel, 2013). La gestion collective des ressources naturelles est une autre de ses préoccupations (Eaux douces, eaux amères, 2009), il coordonne d’ailleurs la revue spécialisée ASAinfo en tant que journaliste indépendant.

Films dans la base