LBO : les insoumis

Un film de Olivier Minh

 2007  France  Documentaire  Prise de vue réelle  52 mn  Couleur  Mode de production : Télévision  VF

Producteur :
Distributeurs :

Pour une projection non commerciale du film, consulter la page sur les diffuseurs spécialisés

Dernière mise à jour : 15 avril 2015

Le rachat-vente de sociétés (LBO) est une technique très en vogue aujourd’hui chez les fonds d’investissement qui disposent de moyens considérables.

L’obligation de rentabilité extrême qui est imposée à ces sociétés rachetées rend les conditions de travail insoutenables pour leurs salariés.

Face à l’immense puissance de la finance internationale, le combat des salariés victimes de LBO semble perdu d’avance.

Pourtant certains d’entre eux résistent de fort belle manière … et la mobilisation semble gagner du terrain.

Ce film est le résultat d’un défi : réaliser en moins de 3 mois un documentaire capable d’expliquer à tous la technique financière du LBO et présenter ensuite des pistes de réflexion, afin de permettre un débat public dans le cadre de la campagne électorale.

Co-produit par le Collectif LBO, qui a fait prendre conscience à de nombreux acteurs sociaux, politiques, associatifs, syndicaux… de l’importance du phénomène des LBO et des conséquences produites, et par l’Union des syndicats CGT de la Caisse des dépôts (USCD), le projet s’est révélé un élément de fédération entre de nombreux professionnels.

La réalisation du film a été confiée à Olivier Minh de Farandole Studio, dont c’est le premier documentaire de 52 minutes, avec un budget de production limité, imposant un tournage sur 72 heures !

Pour découvrir ce film

Vidéos à voir en ligne :
Bande annonce du film
Extrait du film
Plus d’informations sur le film :
Les sites et les outils suivants permettent d’informer l’opinion publique et de faire pression sur les décideurs politiques

Le film dans la Base cinéma & société

Chemins d’accès :
Coordination, collectifs in Ensemble
Marchés financiers in Le monde est-il une marchandise ?
XXe siècle in L’Histoire, territoire de la mémoire ?