L’image d’après
• 4 place des petites boucheries • 37000 Tours • Tél : 06 40 23 43 30 • @ : contact@limagedapres.fr
« Créée en janvier 2008 à Tours, L’image d’après produit des films documentaires et des court-métrages.
Nous souhaitons soutenir des réalisateurs qui prennent le risque de continuer à imaginer des films audacieux et atypiques dans un paysage cinématographique et audiovisuel de moins en moins surprenant.
Les réalisateurs avec lesquels nous travaillons portent un regard personnel sur le monde pour tenter d’en saisir quelque chose et nous l’adresser, sans hésiter à traverser les frontières entre les genres cinématographiques.
Produire, c’est pour nous accompagner les auteurs et les réalisateurs tout au long de leur travail, de l’élaboration du projet à la diffusion du film : c’est inventer pour chaque film un cadre artistique et technique, un montage financier ainsi qu’un circuit de diffusion.
Conscients de ces enjeux fondamentaux, nous revendiquons une production inventive qui permette d’imaginer, pour chaque projet de film et avec chaque réalisateur, un cadre de travail adapté. »
Films dans la base
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Agnès Perrais, 2023
Au Moyen Âge, à Florence en Italie, une révolte des ouvriers les plus pauvres de la laine, les Ciompi, renverse le gouvernement. De nos jours, alors que la réalisatrice s’entretient avec l’historien militant qui a remis en lumière cette révolte, les ouvriers de l’industrie textile se soulèvent.
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Anne Faisandier, 2020
Que se passe-t-il en forêt morvandelle ? C’est quoi ces alignements de bois noirs, ces champs de ruines… ? Je décide de mener l’enquête et, grâce à quatre militants, je découvre la lutte qui se joue ici pour la défense de la forêt. Tous différents, leur engagement s’enracine et se déploie, à la façon des arbres, comme quatre branches ou quatre racines de la lutte. Ils m’aident à comprendre. Je ne me rendais pas compte à quel point j’aimais la forêt : notre forêt.
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Damien Monnier, 2019
Entre 1958 et 2018, l’évolution d’un espace et d’un territoire dans le Morbihan Le documentaire montre des hommes et des femmes revenant sur des lieux qu’ils ont connus. Il nous expose des explications sur les évolutions des technologies qui ont changé les manières de travailler dans le milieu agricole. Il retrace ainsi les évolutions techniques, agricoles et humaines dans le Morbihan.
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Jérémy Gravayat, 2018
Aux marges d’une banlieue parisienne en grande mutation, quelques familles roumaines cherchent des lieux où vivre. Depuis le village quitté, le bidonville rasé, les maisons occupées, leurs trajectoires retissent une histoire commune, faite de solidarités autant que de relégation. Devenus compagnons de route, nous fabriquons ce film ensemble, comme d’autres espaces habitables.
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Rémi Jennequin, 2017
Ce film esquisse le chemin accidenté d’une adolescence qui cherche à ne pas perdre pied. C’est le portrait d’Espoir, 18 ans, jeune habitant de Lomé, capitale du Togo.
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Jusqu’à ce que le jour se lève
Pierre Tonachella, 2017
Le cinéaste filme ses amis d’enfance, demeurés dans l’Essonne rurale où il a grandi. Leur quotidien de désœuvrement, de beuverie ou de travail est scandé par la musique. « Un film avec eux, pour aller chercher ce qui gronde dans l’oubli et les marges du territoire. » (Pierre Tonachella)
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Mohamed Ouzine, 2015
L’histoire des aspirations et peurs d’un jeune trafiquant algérien qui transporte du pétrole par mule de son village à la frontière marocaine. A travers son portrait, émerge la relation ambigüe du réalisateur avec ce territoire, lui qui vit en France.
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Frédérique Pollet Rouyer, 2010
Un film sur les enfants métis en Indochine « rapatriés » en France, arrachés à leur mère après la chute de Saigon.
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Romain Lardot, Gabrielle Gerll, 2010
Licenciés suite à la cessation d’activités de leur entreprise, 28 ouvriers décident de racheter leur outil de travail pour reprendre à leur compte leur activité de carrosserie industrielle.
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Henry Colomer, 2008
Ce documentaire entraîne le spectateur dans un voyage à travers un pan décisif de l’histoire de l’Europe : celui qui va des prémisses de la Grande Guerre jusqu’au moment où la deuxième est devenue inéluctable (1895-1933). Au cœur de cette exploration, des matériaux singuliers : les étoffes, les tissus qui enveloppent la vie des hommes d’une riche trame symbolique, depuis leur naissance jusqu’à leur mort.