ECPAD (Établissement de Communication et de Production Audiovisuelle de la Défense)
• 2 à 8, route du Fort • F 94205 Ivry-sur-Seine Cedex
Constitué en établissement public administratif depuis 2001, l’ECPAD (Établissement de Communication et de Production Audiovisuelle de la Défense) est devenu une agence d’images de référence et un centre de production audiovisuelle de premier plan, reconnu par ses partenaires de la défense, et par un nombre croissant de professionnels et de média.
Riche d’un patrimoine audiovisuel sans cesse enrichi depuis 1915, de l’autochrome au reportage numérique, doté d’équipements rénovés et bénéficiant du savoir-faire de ses trois cents spécialistes militaires et civils, l’ECPAD contribue à la promotion et au renforcement de l’esprit de défense et du lien armée-nation, notamment lors d’événements prestigieux ou de présentations de grande ampleur.
L’établissement participe ainsi à la conception et à la production de nombreux films documentaires et d’ouvrages d’histoire et de patrimoine, qu’il promeut et diffuse auprès des télévisions, du public et des réseaux scolaires et universitaires, en liaison avec la Direction de la Mémoire (DMPA), du Patrimoine et des Archives.
Instrument majeur au service de la politique de communication du ministère de la Défense, l’ECPAD soutient l’action de la Délégation à l’information et à la communication de la défense (DICoD) en réalisant en France et dans le monde, des reportages photo et vidéo, contribuant ainsi à une meilleure compréhension de l’actualité de la défense.
(source : ECPAD)
Films dans la base
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Odyssée d’Albert Londres (L’). Histoire d’un grand reporter
Valérie Manns, 2022
De la Russie bolchevique au bagne de Cayenne, de l’Afrique du Nord à l’Extrême-Orient, de l’Amérique latine à la Palestine, l’épopée du plus grand reporter du XXe siècle à travers des extraits de ses meilleurs articles.
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1919-1920, Après la guerre, l’impossible oubli
Gabriel le Bomin, 2019
La France sort meurtrie de la Première Guerre mondiale : des millions de morts et de disparus, des milliers d’invalides et de nombreux villages rayés de la carte. Vient alors le temps de la reconstruction. Comment les Français vont-ils affronter cette délicate sortie de guerre et tenter de gagner la paix ? Comment la société va-t-elle réintégrer les soldats abîmés par les tranchées ? Comment l’État va-t-il donner un sens au sacrifice du million et demi d’hommes morts au combat ? De l’armistice au premier hommage au soldat inconnu, le 11 novembre 1920, ce film tout en archives colorisées raconte la reconstruction d’un pays après le traumatisme de 1914-1918.
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Là où poussent les coquelicots
Vincent Marie, 2016
D’où viennent les images de la Première Guerre mondiale qui hantent notre imaginaire ? Voir la Grande Guerre, ne plus se contenter de la raconter, mais la montrer et l’incarner : voilà ce que propose aujourd’hui la bande dessinée. En interrogeant l’archive et l’histoire, les auteurs présents dans ce film dialoguent avec la profondeur du temps.
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Cicatrice (La). Une famille dans la Grande Guerre
Laurent Veray, 2013
Ce documentaire se propose de retracer l’existence d’une famille française durant la guerre de 1914-18, en se fondant sur la correspondance authentique et exceptionnelle que ses membres, dispersés aux quatre coins de la France, entretiennent tout au long du conflit.
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Serge de Sampigny, 2010
Documentaire qui retrace le parcours de Pétain, de la gloire du héros de Verdun, à la honte du traître de Vichy.
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Yves Jeuland, 2010
Juin 1940, un vieux maréchal annonce à la France qu’elle doit cesser le combat. Le pays capitule et s’enfonce dans la nuit de l’occupation. Mais quelques milliers d’hommes et de femmes, combattants de l’espérance, partisans de la France libre, refusent de rendre les armes.
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Jean-Christophe Rosé, 2010
Ce film documentaire qui se divise en deux épisodes tente de décrire la première année de la Seconde Guerre mondiale en explorant la question des propagandes croisées des belligérants français, britannique et allemand.
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Daniel Cordier, la Résistance comme un roman
Bernard George, 2010
Mêlant le suspense du récit à l’authenticité du témoignage, ce film inspiré du livre « Alias Caracalla », de Daniel Cordier, nous conduit de Londres sous le Blitz à Paris occupé, en passant par Lyon, capitale de la clandestinité. Dans un aller- retour entre passé et présent, Daniel Cordier partage avec Régis Debray son expérience de Français Libre sur les lieux-mêmes de son engagement…