Marcel Trillat
Films dans la base
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En 1969, Marcel Trillat réalisait Étranges étrangers. 43 ans plus tard, il reprend la caméra et retourne à la rencontre des étranges étrangers d’aujourd’hui. Avec la volonté de poser une simple question : ces Étrangers dans la ville, toujours aussi indispensables, sont-ils accueillis plus dignement par la société française en plein XXIème siècle ?
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Réalisé bénévolement par un petit collectif mené par Marcel Trillat et conçu dans le cadre de la campagne du Front de gauche pour les élections présidentielles de 2012, ce court métrage donne la parole à différents salariés et à une jeune femme privée d’emploi.
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Les Ateliers Thomé-Génot, qui employaient 317 salariés à Nouzonville dans les Ardennes, ont été liquidés à l’automne 2006. Avec Silence dans la vallée, Marcel Trillat complète utilement l’état des lieux de la condition ouvrière entrepris dans ses précédents films.
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En France, plus de trois millions de salariés travaillent à temps partiel et gagnent moins que le Smic. Et les trois quarts d’entre eux sont des femmes, élevant seules leurs enfants pour la plupart. Marcel Trillat propose cinq portraits croisés de femmes vivant et travaillant dans des conditions précaires.
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Qui sont les ouvriers aujourd’hui ? Quelle est leur condition, quelles sont leurs aspirations, leur conscience d’eux-mêmes et de leur force ou de leur vulnérabilité… ? Voici quelques-unes des questions posées par « Les Prolos », promenade subjective de Marcel Trillat dans la France des usines.
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En juin 2001, les 123 salariés d’une petite entreprise lilloise débutaient une lutte pour obtenir un véritable plan social. Marcel Trillat a suivi pendant neuf mois cette petite foule sentimentale et révoltée qui refusait de capituler…
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Dans la nuit du 31 décembre 1969 au 1er janvier 1970, cinq travailleurs noirs meurent asphyxiés dans un foyer à Aubervilliers. Dans le contexte de l’après-68, ce drame va connaître un retentissement national, à la fois politique et médiatique.
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Premier mai à Saint Nazaire (Le) (Cinq colonnes à la une)
Pendant deux mois, les chantiers de l’Atlantique ont poursuivi une grève grâce au soutien sans faille des commerçants et paysans. Ce 1er mai, tous les syndicats appellent au rassemblement pour la victoire. Une production ORTF censurée.
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Reportage suivant la mobilisation d’un groupe de jeunes militants communistes lillois partis en autobus à Paris le 26 novembre 1967 pour manifester contre la guerre du Vietnam.
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Chantiers navals : l’expérience de Saint-Nazaire (Cinq colonnes à la une)
À la faveur des troubles dans les chantiers navals de Port-deBouc, et à propos de la construction du car-ferry « Provence », le magazine Cinq colonnes à la une a mené une enquête dans les chantiers navals de Saint-Nazaire. Les ouvriers, les représentants syndicaux, le préfet de l’Atlantique et le directeur général de Chantiers de l’Atlantique donnent tous leur point de vue. Si d’une part, les heures de travail ont diminué (44 heures par semaine en 1966 contre 48 heures en 1964-65), les salaires ont diminué de 12 % en deux ans, il n’y a pas d’emploi pour les femmes, et il reste encore des chômeurs depuis les derniers licenciements. D’autre part, il faut moderniser l’équipement et investir pour supporter la concurrence européenne et japonaise.
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En 1975 et en 1977, à l’occasion d’une mission de formation de jeunes cinéastes angolais mandatée par le Parti communiste français, Marcel Trillat, Antoine Bonfanti et Bruno Muel ont rapporté ce court-métrage sur un gamin de Luanda.
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En 1975 et en 1977, à l’occasion d’une mission de formation de jeunes cinéastes angolais mandatée par le Parti communiste français, Marcel Trillat, Antoine Bonfanti et Bruno Muel ont rapporté un film (Guerre du peuple en Angola) et un court-métrage sur un gamin de Luanda (A Luta continua).