Lætitia Carton
Laetitia Carton est née en 1974 à Vichy. Elle vit et travaille à Faux-La-Montagne sur le plateau de Millevaches. Après des études aux Beaux-arts de Clermont-Ferrand, elle expose son travail dans des lieux d’art contemporain dès sa sortie de l’école. Puis elle fait un post-diplôme à l’école d’art de Lyon. C’est là, avec Jean Pierre Rhem, son « tuteur », qu’elle rencontre le documentaire de création. Elle décide alors de prendre un autre chemin et fait un Master de réalisation documentaire à Lussas. Son film de fin d’études, D’un chagrin j’ai fait un repos, a été sélectionné et primé dans plusieurs festivals à travers le monde.
Films dans la base
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C’est l’histoire d’un grand bal. Chaque été, plus de 2000 personnes affluent de toute l’Europe dans un coin de campagne française. Pendant 7 jours et 8 nuits, ils dansent, encore et encore, perdent la notion du temps, bravent leurs fatigues et leurs corps.
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Visite (La) - Le Musée d’art moderne
La Visite a proposé à dix réalisateurs de filmer des rencontres entre des personnes en situation de handicap mental et des lieux de cultures mondialement connus. C’est l’histoire d’une rencontre. Celle de Julie avec l’art moderne. Celle de Julie et Lætitia.
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J’avancerai vers toi avec les yeux d’un sourd
Laëtitia Carton a découvert le monde des sourds par l’intermédiaire de Vincent, un ami aujourd’hui disparu, qui l’avait initiée à la langue des signes. Avec lui, elle souhaitait réaliser un film pour raconter ce monde et ses habitants. Vincent parti, Laëtitia lui écrit et va à la rencontre de personnes sourdes, qui rendent compte de leur lutte quotidienne pour sortir de l’invisibilité.
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Edmond, un portrait de Baudoin
Un film documentaire sur Baudoin, figure majeure de la bande dessinée contemporaine.
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Un émouvant film-témoignage de Laetitia Carton sur la maladie de Huntington. Elle ne témoigne pas seule. Car la maladie de Huntington est une histoire de famille. Cette « pieuvre » a déjà englouti de nombreuses personnes dans son entourage. Vieux, jeunes, hommes, femmes tous peuvent être victimes. Une seule règle : Une chance sur deux d’être touché par la maladie transmise par son père ou sa mère. Alors, vivre dans l’angoisse ou faire le test pré-symptomatique ? Rester dans l’inconnu en espérant qu’on n’est pas porteur ? ou qu’au pire la maladie se déclenchera tard ? Prendre le risque de faire le test et être libéré si on n’est pas porteur ? ou au contraire se savoir porteur et être hanté au quotidien par une maladie qui se déclenchera à coup sûr un jour ?
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D’un chagrin, j’ai fait un repos
Dans cet essai cinématographique, Lætitia Carton partage, à travers ses images et ses mots, une réflexion à la fois sociétale et personnelle.