Redécouverte !
Parler d’un film, c’est déjà le faire exister et, peut-être, inviter un distributeur, un éditeur vidéo, une fédération de ciné-club à le ressortir.
Films dans la base
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Sur les traces de Frantz Fanon
Mehdi Lallaoui, 2021
Qui était Frantz Fanon, l’auteur des « Damnés de la terre » et de « Peau noire, masques blancs », ce penseur et psychiatre panafricain engagé dans les luttes anti-colonialistes ? 60 ans après sa disparition, ce documentaire télévisé part sur ses traces aux côtés de ceux qui l’ont côtoyé, pour redécouvrir cet homme d’exception.
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Agnès Gatelet, 2020
Pour lutter contre l’image actuelle de la femme dans l’espace publique (à 90% blanche, jeune, mince et sans handicap) et représenter la femme dans sa diversité, Agnès Gatelet, réalisatrice chorégraphe, a monté le projet « Appel à femmes ». Un rassemblement performance filmé le 16 février 2020 et projeté un peu partout le 8 mars suivant.
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Joséphine Baker - Première icône noire
Ilana Navaro, 2017
Chanteuse, danseuse et comédienne accueillie au Panthéon à Paris : Joséphine Baker avait tous les talents. Adulée en Europe, elle se heurtera au racisme de l’Amérique ségrégationniste, son pays natal. Serti de superbes archives, le récit du destin hors du commun de la première star noire et de ses combats.
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RUMBLE: The Indians who Rocked the World
Catherine Bainbridge, Alfonso Maiorana (co-réalisateur), 2017
RUMBLE est un long métrage documentaire retraçant le rôle joué par les Autochtones dans l’histoire de la musique populaire.
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Frantz Fanon : peau noire, masque blanc
Isaac Julien, 1996
Né en 1925 à la Martinique, Fanon est surtout connu pour son dernier livre « Les Damnés de la terre ». Personnage emblématique des années 60 et 70, ce jeune homme noir dénonça avec passion le racisme et le colonialisme. Son portrait est ici dressé grâce à des documents d’archives, des entrevues et de scènes reconstituées.
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Henri-François Imbert, 1996
Le réalisateur se lance à la recherche d’une famille d’inconnus découverts par hasard sur un film trouvé dans une caméra amateur. Son enquête le conduit à Belfast, au lendemain du cessez-le-feu d’octobre 1994.
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Paul Grimault, Jacques Demy, 1988
Ce film qui mêle prises de vues réelles et animation présente différentes œuvres de Paul Grimault.
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René Vautier, 1985
Les tortures effectuées par le lieutenant Le Pen pendant la guerre d’Algérie, son impunité et les procès que risquent ceux qui rappellent cette vérité
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Lizzie Borden, 1983
Dix ans après une révolution socialiste aux États-Unis, la structure patriarcale de la société est toujours en place. Des groupes de femmes de tous horizons, conscientes de leur oppression, décident d’entrer en lutte…
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Monique Barrière, 1977
Des « champions » de skateboard se réunissent sur la place du Trocadéro pour y faire de brillantes démonstrations de leur talent devant une foule passionnée et coopérative.
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Collectif & Anonyme, 1976
Document brut et rare, ce film reflète l’état d’esprit animant les Beaux-Arts en 1968 : manifestations, assemblées générales d’étudiants, ateliers de création d’affiches (la première avait pour slogan : « U-sines, U-niversités, U-nion »).
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Frederick Wiseman, 1975
À New York, dans un bureau d’aide sociale, la caméra de Frederic Wiseman examine les nombreux marginaux qui sont présents. Parmi eux se trouvent des chômeurs, des SDF, des malades ou encore des enfants victimes de violence.
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Général de Bollardière et la torture (Le)
André Gazut, 1974
L’histoire de ce Général qui s’est opposé à la torture en Algérie. Ce film a été retrouvé par Gilles Barthélemy vidéothécaire, et exhumé du grenier du réalisateur !
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Eiichi Yamamoto, 1973
Jeanne, abusée par le seigneur de son village, pactise avec le Diable dans l’espoir d’obtenir vengeance. Métamorphosée par cette alliance, elle se réfugie dans une étrange vallée, la Belladonna…
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Álvaro J. Covacevich, 1972
Discussion entre Salvador Allende et Fidel Castro lors de la visite triomphale du dirigeant cubain au Chili en novembre 1971. Une leçon de mentalité révolutionnaire.
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Mohamed Bouamari, 1972
Un charbonnier, ancien maquisard, perd son emploi et quitte la campagne pour trouver du travail en ville. Rejeté partout, il réalise combien la guerre a brisé des solidarités profondes. Même au sein de son foyer, la transition s’avère difficile, sa femme ayant des velléités d’indépendance.
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Pierre Étaix, 1971
Les Français partent en vacances. Pierre Etaix les suit. Il les interviewe, les filme et constitue ainsi un documentaire. L’opinion de « l’homme de la rue » sur les sujets d’actualité tels que l’érotisme, le succès artistique, la publicité, la musique et le mariage, alterne avec les concours de chants et les jeux organisés pour les adultes par les grandes marques publicitaires.
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Jean-Michel Barjol, 1967
Documentaire retraçant les différentes situations des immigrés turcs en Belgique travaillant dans les mines dans les années 60 avec une voix off entre poésie et austérité.
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René Allio, 1964
À Marseille, une vieille femme, Madame Bertini, se retrouve seule à la mort de son mari. Tous ses enfants sont mariés et dispersés dans la région à part Albert et Gaston qui sont restés à Marseille. Par intérêt pour l’héritage, les deux fils cherchent à accaparer leur mère. Mais elle décline leurs invitations et, avec le peu d’argent reçu des ventes de l’entreprise familiale en faillite et de tous les biens qui avaient constitué son quotidien jusqu’alors, elle s’achète une voiture et part à l’aventure en compagnie d’une serveuse de bar
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Pier Paolo Pasolini, 1963
Stracci, figurant dans une superproduction basée sur la vie du Christ, est chargé d’incarner le troisième larron dans la scène de la crucifixion. Mais en dehors des moments de tournage, il est obsédé par une chose : la nourriture.
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Henri Aisner, 1957
L’histoire d’un jeune ouvrier qui par un concours de circonstances passe son baptême de l’air et retape avec d’autres un viel avion.
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Paul Carpita, 1954
Dans le Marseille des années cinquante, sur fond de guerre d’Indochine, l’histoire d’un jeune couple confronté aux difficultés économiques et à la crise sociale qui secoue le port.
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Hideo Sekigawa, 1953
Le film retrace les horreurs de la bombe atomique qui a explosé à Hiroshima le 6 août 1945. C’est l’un des premiers films à avoir évoqué la dévastation causée par la bombe atomique, à partir de témoignages écrits de survivants.
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Nicole Védrès, 1949
Documentaire romancé : évocation des mondes scientifique et artistique français de 1949.
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Jean Gourguet, 1938
La vie d’une petite orpheline qui, a dix-neuf ans, est nommée institutrice dans un tout petit village du Morvan où elle joue un grand rôle.
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Pedro Puche, 1937
Mélodrame qui a pour décor le Barrio chino de Barcelone et met en scène un docker qui donne refuge à un jeune avocat devenu criminel et sauve une jeune fille de la prostitution
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Fernando Mignoni, 1937
Comédie satirique sur la justice, le système carcéral, l’argent et l’hypocrisie de la morale bourgeoise
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Armand Guerra, 1936
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Valentin R. Gonzalez, 1936
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Au pays du bien manger et du bien boire
Inconnu, 1935
Dans les années 1930, le développement du chemin de fer met à la portée des voyageurs les richesses culinaires des régions françaises.
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Alberto Cavalcanti, 1926
Entre documentaire et fiction, un hommage à Paris, son foisonnement, ses petits métiers, sa circulation…
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Aventures extraordinaires de Mister West au pays des Bolcheviks (Les)
Lev Koulechov, 1924
Un citoyen américain, Mr West, visite l’Union soviétique. Tétanisé par l’influence de la propagande capitaliste, il ne prévoit que misères et dangers et n’en devient que plus facilement la proie d’une bande d’escrocs qui renchérissent sur ses craintes. Par bonheur, une compatriote éclairée et une escouade de purs bolchéviks, animée des meilleures intentions, se portent à son secours et lui ouvrent les yeux sur l’avenir radieux de l’URSS… Satire de la presse américaine et parodie de serial d’aventure hollywoodiens, propagande en faveur de l’URSS, comédie burlesque farfelue, ce film de Lev Koulechov a été une vrai nouveauté dans le cinéma soviétique des années 1920.