Carlotta films
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Films dans la base
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Pierre Étaix, 2010
Pierre tente l’expérience du camping sauvage.
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Gabriel Axel, 1987
Babette, cuisinière française, fait ses adieux à une communauté pieuse du Danemark où elle s’est réfugiée pendant la Commune. Un conte sur les plaisirs de la vie, éphémères et mémorables.
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Sergio Leone, 1984
Il était une fois deux truands juifs, Max et Noodles, liés par un pacte d’éternelle amitié.
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Carlos Saura, 1976
Dans l’Espagne franquiste et bourgeoise cloisonnée dans ses codes et ses interdits, une petite fille, Ana, orpheline est élevée avec ses sœurs par sa tante avec qui elle ne s’entend pas.
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Jacques Tati, 1974
L’histoire d’une grande fête au cours de laquelle Jacques Tati organise une rencontre entre spectateurs, artistes, clowns, enfants et lui-même.
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Djibril Diop Mambety, 1973
Mory et Anta s’aiment. Les deux jeunes amants partagent le même rêve, quitter Dakar pour Paris. Au moment fatidique, Anta embarque. Mory, lui, reste seul sur les quais, incapable de s’arracher à sa terre…
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Charme discret de la bourgeoisie (Le)
Luis Buñuel, 1972
Des amis issus de la grande bourgeoisie et aux activités pas toujours très honnêtes s’invitent à diner régulièrement mais sont à chaque fois empêchés par des évènements saugrenus.
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Bernardo Bertolucci, 1972
Paul, un Américain établi à Paris, et Jeanne font connaissance alors qu’ils visitent, un matin d’hiver, un grand appartement vide. Ils font l’amour sans rien savoir l’un de l’autre.
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Pierre Étaix, 1971
Les Français partent en vacances. Pierre Etaix les suit. Il les interviewe, les filme et constitue ainsi un documentaire. L’opinion de « l’homme de la rue » sur les sujets d’actualité tels que l’érotisme, le succès artistique, la publicité, la musique et le mariage, alterne avec les concours de chants et les jeux organisés pour les adultes par les grandes marques publicitaires.
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Jerzy Skolimowski, 1970
Mike vient de sortir du collège et trouve un emploi dans un établissement de bains londonien. Susan, son homologue féminin, arrondit ses fins de mois en proposant ses charmes à la clientèle masculine. Amoureux jaloux de la jeune femme, Mike devient encombrant.
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Pierre Étaix, 1969
Pierre est marié avec Florence. Tout va bien dans son couple et son travail. Les années passent, monotones, et quand arrive une nouvelle et jeune secrétaire, il en tombe amoureux et se met à rêver…
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Il était une fois dans l’Ouest
Sergio Leone, 1968
Il était une fois dans l’Ouest est un film dont l’action se passe lors de la conquête de l’Ouest américain. Il tourne autour de la construction du chemin de fer et met en scène divers personnages représentatifs des westerns classiques pour mieux les détourner. Ainsi, le film se trouve être le point au départ improbable entre western américain et western spaghetti.
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Pierre Étaix, 1966
Pierre est un jeune homme sérieux et posé. Mais il se sent peu à l’aise dans son siècle et toutes sortes de mésaventures l’attendent. Un petit chef-d’œuvre satirique et burlesque.
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Pietro Germi, 1966
3 histoires dans une ville catholique italienne ou chacun discute des affaires privées d’autrui sur une térasse de café et ou la trahison semble la règle. Le clergé avec la morale chrétienne et les moeurs sociales forcent tout ce petit monde a essayé de sauver les apparences en public. Et si l’affaire devient trop public, la police se charge de constater l’adultère.
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Gillo Pontecorvo, 1966
Une reconstitution de la bataille d’Alger de 1957, à l’occasion du soulèvement de la population algérienne musulmane par le FLN contre le pouvoir colonial français, et de la tentative du détachement parachutiste de l’armée française de « pacifier » le secteur.
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Pierre Étaix, 1965
Un riche petit garcon s’ennuie, seul et entoure de ses domestiques, jusqu’au jour ou passe un cirque. Il reconnait dans l’ecuyere la jeune fille qu’il aime en secret.
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Vittorio De Sica, 1964
Pendant la seconde guerre mondiale, Domenico Soriano, commerçant appartenant à une famille napolitaine aisée, rencontre dans un bordel Filumena Marturano, une femme d’origine humble. Il en tombe amoureux et l’emmène vivre chez lui. Après vingt ans de concubinage, et bien qu’elle ait toujours scrupuleusement joué son rôle de femme et de domestique, Filumena n’a pas encore reçu de proposition de mariage et décide de faire croire à Domenico qu’elle est mourante…
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Pier Paolo Pasolini, 1963
Stracci, figurant dans une superproduction basée sur la vie du Christ, est chargé d’incarner le troisième larron dans la scène de la crucifixion. Mais en dehors des moments de tournage, il est obsédé par une chose : la nourriture.
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Pierre Étaix, 1963
Un jeune chercheur solitaire, obéissant à une suggestion de son père, décide soudain de se marier. Avec qui ? Il se lance dans une aventure aux pièges multiples et jette son dévolu sur une idole inatteignable. Sans regarder tout près de lui.
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Pierre Étaix, Jean-Claude Carrière, 1962
Une jeune femme prépare la table pour fêter son anniversaire de mariage. Le mari se trouve coincé dans les encombrements parisiens. Les quelques arrêts pour les derniers achats ne font que le retarder davantage.
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Pierre Étaix, Jean-Claude Carrière, 1961
Un jeune homme reçoit une lettre de sa bien-aimée. Hélas, il s’agit d’une lettre de rupture. Il entreprend de lui répondre…
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Billy Wilder, 1960
Pour obtenir de l’avancement, un employé prête son appartement à ses supérieurs, qui l’utilisent comme garçonnière. D’une histoire sordide, Billy Wilder fait une comédie pétillante d’intelligence.
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Jean-Luc Godard, 1960
L’itinéraire d’un jeune délinquant qui, après avoir volé une voiture et tué un policier, est traqué par la police…
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Sidney Lumet, 1957
Un jeune homme d’origine modeste est accusé du meurtre de son père et risque la peine de mort. Le jury composé de douze hommes se retire pour délibérer et procède immédiatement à un vote : onze votent coupable, or la décision doit être prise à l’unanimité. Le juré (Henry Fonda) qui a voté non-coupable, sommé de se justifier, explique qu’il a un doute et que la vie d’un homme mérite quelques heures de discussion. Il s’emploie alors à les convaincre un par un.
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Stanley Kubrick, 1957
En 1916, durant la Première Guerre mondiale, le général français Broulard ordonne au général Mireau de lancer une offensive suicidaire contre une position allemande imprenable, surnommée « La fourmilière ». Au moment de l’attaque, les soldats tombent par dizaines et leurs compagnons, épuisés, refusent d’avancer…
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Jacques Tati, 1957
Hulot, qui habite une pittoresque maison d’un quartier populaire, vient de temps en temps distraire son neveu qui s’ennuie dans la villa ultra-moderne de ses parents.
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Charles Laughton, 1955
Régulièrement cité dans les classements des plus grands chefs-d’oeuvre cinématographiques, La Nuit du chasseur est l’unique film réalisé par l’acteur Charles Laughton. Dans une atmosphère remplie de visions obscures, deux enfants sont traqués par un ange exterminateur.
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Hideo Sekigawa, 1953
Le film retrace les horreurs de la bombe atomique qui a explosé à Hiroshima le 6 août 1945. C’est l’un des premiers films à avoir évoqué la dévastation causée par la bombe atomique, à partir de témoignages écrits de survivants.
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Yasujiro Ozu, 1953
Un couple âgé entreprend un voyage pour rendre visite à ses enfants. D’abord accueillis avec les égards qui leur sont dus, les parents s’avèrent bientôt dérangeants.
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Ruth Orkin, Morris Engel, Ray Ashley, 1953
Leur maman étant obligée de s’absenter, Joe et son frère Lennie sont livrés à eux-mêmes. Lennie et ses camarades, pour se débarrasser de Joe, lui font croire qu’il a tué son frère en s’amusant à le viser avec un fusil et que la police va le poursuivre.
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Jacques Tati, 1949
Des forains s’installent dans un calme village. Parmi les attractions se trouve un cinéma ambulant où le facteur découvre un film documentaire sur ses collègues américains. Il décide alors de se lancer dans une tournée à « l’americaine ».
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Jean Renoir, 1937
Souvent cité parmi les films les plus importants du vingtième siècle, La Grande Illusion est le symbole d’un cinéma universel et pacifiste. À travers les aventures du lieutenant Maréchal, le soldat mécano immortalisé par Jean Gabin, c’est l’amitié naturelle entre des personnages très différents et contre tout système qui est ici racontée. Ni film historique, ni vraiment film de guerre, l’œuvre de Renoir saisit les hommes dans leur complexité individuelle, hors de toute appartenance aux nations, fussent-elles en guerre.