Tamasa Distribution
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Films dans la base
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Alain Cavalier, 2017
Le cinéaste s’est attaché à six personnages, filmés dans leur quotidien.
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Olivier Ducray, 2015
Saisons après saisons, la pétillante Françoise, infirmière libérale, illumine la vie des gens. Avec beaucoup d’humour et de tendresse, elle fait bien plus que soigner nos ainés… elle préserve le lien social.
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Edgar Morin, chronique d’un regard
Olivier Bohler, Céline Gailleurd, 2014
Paris, à la tombée de la nuit. Les murs de la ville s’animent de projections immenses. Des films russes, allemands ou français des années 1930, comme une mélodie profonde et lointaine, hantent les souvenirs d’Edgar Morin, ses premières émotions de spectateur. Tout en arpentant les rues, les conférences et les musées, en France et à l’étranger, le philosophe revient sur la place essentielle que l’étude du cinéma a joué dans sa vie et dans sa formation d’intellectuel, jusqu’à la réalisation en 1960, avec Jean Rouch, du film « Chronique d’un été ». Grâce à l’utilisation, pour la première fois, du son direct sur les caméras, ce film bouleversa l’histoire du cinéma, tant documentaire que de fiction.
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Diane Baratier, 2009
À travers une journée de tournage, la personnalité et l’œuvre du réalisateur Jacques Baratier se dessinent.
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Jean-Michel Carré, 2006
Le travail est le carrefour de valeurs contradictoires. Quels sont ses enjeux ? Pour répondre à quels objectifs opposés ? Au bénéfice de qui ? Quelles sont les nouvelles méthodes de management ?
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Fernando Meirelles, 2005
Diplomate anglais déployé au Kenya, Justin Quayle apprend la mort de sa femme, Tessa, assassinée sur les bords du lac Turkana. Le médecin anglais qui l’accompagnait ayant disparu, les soupçons se portent sur lui. Justin n’est pas convaincu par cette hypothèse et tente de percer le mystère de l’assassinat de sa femme. Il découvre que sa femme a écrit un rapport compromettant sur les laboratoires pharmaceutiques qui testaient sur des patients une molécule traitant la tuberculose.
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Artistes du théâtre brûlé (Les) - La Force libératrice de la non-violence
Rithy Panh, 2005
Dans un pays aux rêves brisés, où il n’y a plus ni théâtres ni salles de cinéma (ou si peu), les arts traditionnels et populaires disparaissent, remplacés par la télévision. Quelques artistes subsistent, condamnés à vivre dans la misère ou à jouer dans des spots télévisuels mensongers, faute de structures ou de soutien financier.
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Diane Kurys, 1999
C’est l’histoire de la passion amoureuse entre George Sand et Alfred de Musset. Ecrivains déjà célèbres quand ils se rencontrent, ils ne croient plus ni l’un ni l’autre à l’amour. Et pourtant, ils vont vivre une liaison déchirante qui les hantera tout au long de leur vie.
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Chris Marker, 1997
L’Histoire interactive, ou comment se prendre au jeu… Laura, en compagnie d’un interlocuteur invisible, doit terminer l’écriture d’un jeu vidéo consacré à la bataille d’Okinawa. Au fur et à mesure que Laura accumule témoignages et documents, ceux-ci commencent à interférer avec sa propre vie…
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Raymond Depardon, 1994
Dans le dépôt de la préfecture de Police au Palais de Justice, Raymond Depardon filme l’itinéraire procédural de plusieurs personnes prises en flagrant délit, notamment leur audition par un substitut du procureur.
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Cheik Doukouré, 1993
L’ascension de Bandian, un jeune guinéen passionné de football qui quitte son village pour rejoindre l’Europe et devenir sportif professionnel.
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Bertrand Tavernier, 1989
1920. La seconde manche du suicide européen dont il ne reste à disputer que la belle est achevée depuis 2 ans. La France, détruite sur un quart de son territoire, panse ses plaies dans une fête travailleuse qui a pour décor l’immense chantier de la reconstruction. Partout, les survivants s’activent, s’acharnent à oublier quatre années de cauchemar et y réussissent. Dans ce climat, deux jeunes femmes, d’origines sociales très différentes, poursuivent un même but, retrouver l’homme qu’elles aiment et qui a disparu dans la tourmente.
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Raymond Depardon, 1987
Tourné au service des urgences psychiatriques de l’Hôtel-Dieu à Paris, il filme des personnages du quotidien dans leurs demandes, leurs drames et leurs souffrances grâce à un dispositif d’une rigueur absolue.
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Raymond Depardon, 1983
« Faits divers » est un reportage en direct, sans commentaire, sur les activités quotidiennes des gardiens de la paix du commissariat du 5e arrondissement de Paris.
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Jean Eustache, 1980
En regardant attentivement et en parlant de quelques photographies, nous nous apercevons que les choses ne sont pas ce qu’elles ont réellement l’air d’être
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Raymond Depardon, 1977
1977, Claude Perdriel, directeur du Nouvel Observateur, décide de lancer un quotidien d’information : Le Matin de Paris. Raymond Depardon s’immerge au cœur d’une rédaction en ébullition qui prépare les essais avant parution du premier numéro du journal. Un document passionnant sur la presse dans les années 1970.
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Joseph Losey, 1976
En 1942 à Paris, sous l’occupation allemande, l’Alsacien Robert Klein fait des affaires en rachetant en-dessous de leur prix réel des objets d’art à des Juifs en difficulté. Alors qu’il reconduit jusqu’à sa porte l’un d’entre eux à qui il vient d’acheter un petit tableau du maître hollandais Adriaen van Ostade, il découvre parmi son courrier un exemplaire des Informations Juives, journal habituellement délivré sur abonnement spécial.
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Liliane de Kermadec, 1974
L’histoire véridique d’Aloïse, aliénée, enfermée toute sa vie, qui a finit par s’exprimer par la peinture.
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Luigi Comencini, 1974
Une Love Story ouvrière entre un communiste milanais et une Sicilienne, rongée à mort par la pollution de leur usine. Un mélo subversif, s’achevant dans la vengeance sociale.
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Marielle Issartel, Charles Belmont, 1973
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Marco Ferreri, 1973
L’histoire de quatre hommes qui, fatigués de leurs vies ennuyeuses et de leurs désirs inassouvis, décident de s’enfermer dans une villa à Paris pour un « séminaire gastronomique », en réalité un suicide collectif en mangeant jusqu’à ce que mort s’ensuive.
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Jean Eustache, 1972
La vie d’Alexandre, émaillée de bavardages, entre sa femme et sa maîtresse.
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Jacques Doillon, 1972
« On arrête tout, on réfléchit, et c’est pas triste… ». L’An 01 narre un abandon utopique, consensuel et festif de l’économie de marché et du productivisme. Financé grâce à la bonne volonté des lecteurs de Charlie-Hebdo, ce film reste emblématique de la contestation des années 1970.
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Dalton Trumbo, 1971
Durant la Première Guerre mondiale, un jeune soldat est blessé par une mine : il a perdu ses bras, ses jambes et toute une partie de son visage. Il ne peut ni parler, ni entendre, ni sentir mais reste conscient. Dans la chambre d’un hôpital, il tente de communiquer et se souvient de son histoire.
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Claude Feraldo, 1971
L’histoire d’une famille prolétaire et paresseuse à l’origine de l’appellation de la ‘bof génération’.
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Deux ou trois choses que je sais d’elle
Jean-Luc Godard, 1967
Les transformations urbaines et l’histoire d’une jeune femme devenue prostituée.
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Yves Allégret, 1963
Embauché comme mineur à Montsou, dans le Nord de la France, le jeune Etienne Lantier découvre la souffrance d’une population misérable et déshéritée. Gagné aux idées socialistes, il appelle les mécontents à faire la grève et à constituer une caisse de prévoyance. Le mouvement se durcit…
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Muriel ou le temps d’un retour
Alain Resnais, 1962
Muriel est un des rares films linéaires de Resnais, sur le poids des souvenirs, du passé, l’angoisse du temps qui passe. Muriel n’étant pas un film sur l’Algérie, mais un film où il en est question comme d’une pensée gênante, Resnais par ce propos subtil échappa à la censure très pointilleuse de l’époque.
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Luchino Visconti, 1961
La famille Parondi a quitté le Sud pauvre de l’Italie pour vivre à Milan. Entre Rocco (Alain Delon) et Simone (Renato Salvatori) s’immisce bientôt Nadia, une prostituée au charme irrésistible…
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Mario Ruspoli, 1961
En 1960, Mario Ruspoli décide de tourner un documentaire sur l’hôpital psychiatrique de St Alban en Lozère. Pari courageux, à une époque où la folie est un sujet tabou, totalement occulté par la société.
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Jean Rouch, Edgar Morin, 1960
Etes-vous heureux ? Edgar Morin et Jean Rouch interviewent la france des années 1960. Le film est également un questionnement sur le cinéma.
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Jean Renoir, 1959
Le professeur Alexis est un fringant biologiste, apôtre de la fécondation artificielle grâce à laquelle il veut améliorer la race humaine. Un projet de mariage arrangé avec une responsable allemande de mouvements de jeunesse doit propulser sa candidature à la présidence de l’Europe. Seulement, au cours d’un pique-nique en pleine nature, il fait la connaissance de Nénette, une fille de la campagne, qui se met à sa disposition comme sujet d’expériences puisque, justement, elle n’est pas tellement portée sur les hommes.
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Alain Resnais, 1959
En août 1957, à Hiroshima, une actrice française termine un film sur la paix. Elle s’éprend d’un architecte japonais le dernier jour du tournage. Ils ont vingt-quatre heures devant eux pour vivre cette passion fulgurante.
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Christian-Jaque, 1956
Sur le chalutier « Lutèce », qui pêche en mer du Nord, une terrible épidémie s’est déclarée. L’un après l’autre, les matelots tombent malades. Seul Mohammed reste valide, aussi le second l’accuse-t-il violemment de jeter un sort à ses camarades. Le navire étant bloqué près des côtes norvégiennes, il est urgent d’acheminer le sérum indispensable à la survie de l’équipage. Un formidable élan de solidarité internationale s’organise…
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Mario Ruspoli, 1956
Un film sur les derniers pêcheurs de baleine au harpon, une pratique que l’on pensait alors révolue depuis longtemps.
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Henri Verneuil, 1955
Jean Viard, conducteur de poids lourds sur la ligne Paris-Bordeaux, tombe amoureux d’une jeune serveuse d’un relai routier. L’affaire tourne mal…
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Alain Resnais, 1955
Réalisé en 1955, le célèbre film d’Alain Resnais Nuit et Brouillard est resté le documentaire de référence sur la déportation. A l’aide de documents d’archives, il retrace le lent calvaire des déportés.
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Alexander Mackendrick, 1952
Sidney Stratton, rinceur de tubes à essai dans le laboratoire d’une fabrique de textile, travaille secrètement à la création d’un nouveau tissu insalissable et inusable. Il finit par réussir, mais la commercialisation de ce textile révolutionnaire sonnerait le glas de l’industrie textile.
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René Clément, 1946
Pendant l’Occupation allemande, un quinquagénaire d’apparence tranquille mène en réalité les opérations de résistance dans sa région.
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Jean Grémillon, 1943
Le film s’inspire d’un fait réel : l’exploit authentique de l’épouse d’un garagiste de Mont-de-Marsan qui battit en 1937 le record féminin de vol en ligne droite
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Marcel Carné, 1939
François, ouvrier sableur sans histoire, a assassiné Valentin qui a séduit Françoise, la jeune fille dont il était amoureux. Alors que la police assiège l’immeuble, il se remémore les événements qui l’ont conduit à commettre ce meurtre, et se suicide avant d’être arrêté.
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Jean Renoir, 1938
En 1792, pendant la Révolution, le peuple marseillais forme un bataillon de volontaires qui part pour Paris où il participe à la prise du château des Tuileries, le 10 août. Ce grand classique est une exaltation de la liberté et un hymne à la gloire du peuple français.
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Jean Renoir, 1935
Première rencontre de Jean Renoir et de Jacques Prévert et aussi avec l’équipe des comédiens du groupe Octobre, ce film reflète d’une façon prémonitoire les préoccupations du Front populaire.
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René Clair, 1931
Emile et Louis cherchent à s’évader de prison. Louis réussit et devient le patron d’une usine de phonographes. Emile est libéré et se retrouve employé dans l’usine de son ancien compagnon, quittant ainsi les chaînes pour la chaîne. Les deux anciens camarades se retrouvent.
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Georg Wilhelm Pabst, 1930
Quatre fantassins allemands se battent sur le front français lors des derniers mois de la Première Guerre mondiale. Ce premier film sonore de Pabst est une adaptation du livre d’Ernst Johannsen. Les tranchées sont montrées comme un enfer qui, sans distinction d’âge ni de classe, engloutit les forces vives d’un pays. La fin est un poème lugubre où boue, chair et métal s’entremêlent dans des plans saisissants.