Les films du grain de sable
http://www.films-graindesable.com
• 206 rue de Charenton • 75012 Paris • tél : 01 43 44 16 72 • fax : 01 40 19 07 56 • mail : gds@films-graindesable.com
Films dans la base
-
Jean-Michel Carré, 2018
Gigantisme des ateliers, prolifération des artistes et des lieux d’exposition, écoles d’art qui ne désemplissent pas : décryptage de la frénésie d’art contemporain qui a saisi l’Empire du Milieu, avec de grands noms comme Ai Weiwei, Cang Xin ou He Yunchang.
-
Emmanuel Lautréamont, Gaspard Hirschi, 2014
Un turfiste abonné à la défaite décide de reprendre en main les rênes de son destin en achetant son propre cheval de course. Un ami dépressif se propose pour l’accompagner dans cette aventure de la dernière chance, tandis qu’un courtier moustachu ne tarde pas à dénicher la perle rare. Comme on l’aurait parié, rien ne va se passer comme prévu. Mais le problème c’est que dans cette histoire tout le monde joue pour de vrai.
-
Puisqu’on nous envoie promener
Katie Baillot, Oriane Descout, Erwan Ricordeau, 2012
Ils sont une centaine de sans-papiers, de toutes origines, partis de Paris avec la ferme intention de parvenir à Nice pour le sommet France-Afrique. Ultime défi à l’interdiction de circuler qui les frappe, ils traversent le pays à pied.
-
Jean-Michel Carré, 2011
Le film Grandir à petits pas donne l’occasion aux psychanalystes impliqués dans le fonctionnement de la Maison Verte créée par Françoise Dolto, d’exposer en termes clairs, rigoureux et compréhensibles ses enjeux.
-
Basile Carré-Agostini, 2006
Robert Lechevalier restaure de magnifiques motos anciennes dans le fond du garage. Il sautille, chante, savoure et s’épanouit en faisant ce travail pour lequel il ne compte pas ses heures. À côté de lui, deux mécaniciens et deux commerciaux s’occupent de préparer et de vendre des petites voitures sans permis. Le contraste entre Robert et les autres est saisissant, il nous permet de mieux voir ce qu’est le travail et ce qu’il pourrait être.
-
Jill Emery, 2002
Amanda a vingt-six ans. Mais c’est encore une enfant. Elle est autiste. Sa maladie s’est déclenchée peu à peu. " Elle était caractérielle et faisait beaucoup de crises d’épilepsie » , raconte Jill Emery, sa mère qui est aussi la réalisatrice.
-
Jean-Michel Carré, 2001
Une troupe d’Opéra met en scène la lutte des mineurs de Tower Colliery pour accéder à l’indépendance et à la liberté. Ce film raconte l’aventure de la genèse et de la réalisation de cet opéra, entièrement conçue avec les mineurs.
-
Jean-Luc Cohen, 2001
Pour ces ouvriers d’une entreprise de travaux publics de l’Aube, les 35h c’est surtout une carte de crédit accordée au patron. Quel bénéfice pour les ouvriers ?
-
PSU en Mai 68 : mémoires de militants
Jean-Michel Carré, 1999
30 ans après 68, des militants du PSU ont ressenti la nécessité de se retrouver pour faire le point de leur mémoire sur un événement qui a été ressenti pour chacun d’entre eux comme déterminant dans leur engagement politique.
-
Avenir ne tombera pas du ciel (L’)
Jean-Luc Cohen, 1998
Huit mois durant, la caméra de Jean-Luc Cohen s’est fait oublier pour restituer les petits moments ordinaires du quotidien d’Emmanuel Poirier, délégué syndical à la SCR, filiale troyenne du groupe Eiffage.
-
Omar Amiralay, Mohamed Malas, 1997
« La première fois que j’ai entendu parler d’Israël, c’était à Beyrouth, et à propos d’un plat de sardines. J’avais 6 ans, Israël avait 2 ans. »
-
Il y a tant de choses encore à raconter
Omar Amiralay, 1997
Quelques mois avant la mort du dramaturge syrien Saadallah Wannous, son ami Omar Amiralay lui donne la parole. Le film est un témoignage sur leur génération, celle du conflit israélo-arabe.
-
, 1993
Devant la caméra pudique et attentive de Jean-Michel Carré, les prostituées disent leur solitude, leur dégoût des hommes, leur vie perdue mais aussi cette liberté et cette dignité qu’elles ont conquises.
-
Jean-Michel Carré, 1993
Fleury Mérogis est la plus grande prison de femmes d’Europe. Ce long métrage documentaire trace les portraits de sept femmes pendant leurs détentions puis dans leur tentative de réinsertion.
-
Jean-Michel Carré, 1990
Sept détenues de la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis (91), pour la plupart toxicomanes, témoignent de leurs conditions de détention et des circonstances qui les ont menées en prison.
-
Regarde, elle a les yeux grand ouverts
Yann Le Masson, 1982
Ce film raconte l’histoire de 1975 à 1982 d’un groupe de femmes d’Aix-en-Provence et de leurs proches, maris, compagnons, enfants. Ces femmes découvrent au MLAC qu’elles peuvent ensemble transformer et vivre autrement des moments aussi importants pour elles que : avorter, accoucher, choisir de faire ou non un enfant.
-
Jean-Michel Carré, 1981
La famille, l’amour maternel, la fragilité de l’enfance, l’école, le travail quotidien, l’intimité du foyer… Autant de valeurs, d’idée reçues qui nous paraissent si naturelles et qui pourtant sont si souvent en faillite…
-
Jean-Louis Le Tacon, 1979
Ce film est une forme d’exutoire riche de violences et d’excès.
-
Jean-Michel Carré, 1978
Décrypte le mécanisme de l’échec scolaire et expose les interventions conjuguées des parents, des enseignants et des spécialistes en tout genre qui font de l’enfant un enfant cerné et le privent de sa liberté de s’exprimer
-
Jean-Michel Carré, Adam Schmedes, 1975
Premier film à ce jour sur l’université de Vincennes Paris VIII. Ce film se veut un document sur la signification politique de Vincennes et de l’université en général.