Festival international du film écologique et social (FIFES)
Cannes – mai
Le FIFES (Festival international du film écologique et social) a pour vocation de rendre visibles les initiatives écologiques et sociales par les arts et notamment le cinéma. Il est organisé par un collectif de citoyen·nes conscient·es de l’importance d’agir pour le vivant, pour la jeunesse et en faveur du commun.
« Nous prônons la joie et la convivialité, celles de Baruch Spinoza et d’Ivan Illich, ainsi que la reliance du sociologue Marcel Bolle de Bal, car les mots de Gaston Bachelard résonnent en nous : “Loin que ce soit l’être qui illustre la relation, c’est la relation qui illumine l’être.“
Dans l’époque singulière que nous vivons, nous ressentons le besoin crucial de voir émerger de nouveaux récits pour un futur souhaitable, de nouveaux mythes fondateurs pour les temps à venir. Nos générations présentes ont pris conscience de leur souveraineté intérieure et de leur pouvoir de création, tout comme leur capacité d’agir et de rassembler. Notre rôle consiste à infuser et diffuser la liberté d’expression pour un monde plus juste, soutenable et supportable.
Sur l’écran, la scène et le village du festival, vibre le cœur de la Terre mère et de tous les êtres qui l’habitent. »
Films dans la base
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Simon Coulibaly Gillard, 2021
Aya grandit avec sa mère sur l’île de Lahou. Son paradis est voué à disparaitre sous les eaux mais tandis que les vagues menacent sa maison, Aya fait un choix : la mer peut bien monter, elle ne quittera pas son île.
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Ruptures. Changement de cap chez les jeunes diplômés
Arthur Gosset, 2021
Leur destin était bien tracé : de brillantes études, la promesse d’un bon job et d’un gros salaire. Mais ces jeunes ont fait un choix radical : renoncer à l’avenir qu’on leur promettait pour une vie plus compatible avec les enjeux environnementaux et sociétaux de notre époque.
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Geoffrey Couanon, 2020
D’un côté, la capitale. De l’autre, les derniers champs de la plaine de France. Au milieu, la banlieue et le regard d’une jeunesse qui questionne son rapport à la terre, à la ville, à la consommation, à la société, à la démocratie. Une enquête enthousiasmante au cœur de leur territoire.
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Michel Toesca, 2018
Cédric Herrou, agriculteur dans la vallée de la Roya, voit son quotidien bouleversé par l’arrivée de réfugiés qui cherchent à traverser la vallée. Avec d’autres habitants, ils décident de les accueillir et de leur apporter leur aide.