Chroniques d’un Iran interdit

Un film de Manon Loizeau

 2011  France  Documentaire  Prise de vue réelle  90 mn  Couleur  Mode de production : Télévision

 Scénario : Manon Loizeau

Producteurs :
Distributeur :

Pour une projection non commerciale du film, consulter la page sur les diffuseurs spécialisés

Dernière mise à jour : 24 juillet 2012

Alors qu’un vent de liberté souffle sur le monde arabe, que les peuples prennent leur destin en main et font tomber les dictateurs, la jeunesse iranienne attend. C’est pourtant elle qui a été la première à se révolter en juin 2009 contre un pouvoir monolithique, demandant plus de liberté, la fin de la corruption et surtout le respect de son vote. Des slogans que l’on a retrouvés en Tunisie, en Égypte, et aujourd’hui en Libye, au Yémen, en Algérie. Les jeunes Iraniens ont aussi été les premiers à filmer leur révolte avec leurs téléphones portables, à envoyer leurs images sur Internet par Youtube, à témoigner sur Twitter ou Facebook de la répression qu’ils subissaient.

Aujourd’hui l’Iran se referme, et Manon Loizeau, après un reportage sur le « printemps iranien » diffusé par France 2 dans Envoyé spécial, et comme la plupart des journalistes occidentaux, ne peut plus s’y rendre. Comment, depuis l’extérieur », raconter ce qui se passe « à l’intérieur » ? N’ayant jamais cessé de dialoguer à distance avec les gens qu’elle y avait rencontrés, la réalisatrice mêle les vidéos clandestines qu’ils lui ont fait parvenir malgré les risques, des images de Youtube, des témoignages de militants réfugiés en France, et ses propres images, tournées au plus fort de la « révolution verte ».

(source : Magnéto presse)

Pour découvrir ce film

Vidéo à voir en ligne :
Extrait du film
Plus d’informations sur le film :
Interview de Manon Loizeau

Le film dans la Base cinéma & société

Chemins d’accès :
Liberté, égalité, fraternité ?
Le pouvoir politique in Liberté, égalité, fraternité ?
Fil de l’histoire :
Les Printemps arabes

Pour aller plus loin

Dossier autour de la programmation Iran, images interdites sur le site d’Arte.