Gaumont
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Films dans la base
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Grand corps malade, Mehdi Idir, 2019
Samia Zibra, jeune et inexpérimentée, débute comme conseillère principale d’éducation dans un collège en zone d’éducation prioritaire en Seine-Saint-Denis. Elle y rencontre de nombreux problèmes mais découvre également l’incroyable vitalité et l’humour qui règnent dans l’établissement.
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Mohamed Hamidi, 2018
Un petit club de foot risque de disparaître quand toute son équipe est suspendue pour cause de bagarre sur le terrain. Seule solution pour finir la saison : remplacer les joueurs par… des joueuses !
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Élisabeth Kapnist, 2012
Le quotidien de l’hôpital psychiatrique de jour de Saint-Germain-en-Laye, où se tisse une relation de confiance entre soignants et patients. La folie dérange. La réalisatrice, elle, a voulu comprendre, à travers cet hôpital psychiatrique, combien elle est au contraire proche de nous.
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Éric Toledano, Olivier Nakache, 2011
Tout les oppose et il était peu probable qu’ils se rencontrent un jour, et pourtant. Philippe, un riche aristocrate devenu tétraplégique après un accident de parapente va engager Driss, un jeune homme d’origine sénégalaise tout droit sorti de prison, comme auxiliaire de vie à domicile. Pourquoi lui ? Tout simplement parce qu’il ne regarde pas Philippe avec le même regard de pitié que les autres candidats.
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Xavier Durringer, 2011
Le film évoque l’ascension au pouvoir de Nicolas Sarkozy, de sa nomination au poste de ministre de l’Intérieur en 2002 à son élection à la tête de l’État français en 2007.
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Ciné colonial. Le Maghreb au regard du cinéma français (Le )
Moktar Ladjimi, Youssef El Ftouh, 1997
Dès que les films Lumière ou Méliès ont révélé les possibilités du cinéma, la France n’a cessé de nourrir sa politique coloniale dans le Maghreb d’une imagerie de propagande, où le manichéisme le disputait aux grandes envolées civilisatrices. À l’appui de cette théorie, Youssef El Ftouh et Moktar Ladjimi convoquent témoins et extraits de films pour retracer une histoire du cinéma colonial français.
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Maurice Pialat, 1983
A quinze ans, Suzanne découvre avec lucidité et une certaine amertume que ce qu’elle aime faire avec les hommes, c’est l’amour et rien d’autre. Le reste ne serait-il qu’ennuie ou illusion ?
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Patrice Chéreau, 1978
Veuve d’un grand résistant, Judith Therpauve accepte de prendre la direction d’un grand quotidien fondé au lendemain de la Libération. Mais, très vite, elle se heurte aux manœuvres des uns et aux revendications des autres.
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Bernard Paul, 1972
Dans une petite ville industrielle du nord de la France, se noue, autour d’une usine de textile, un drame humain qui unit et oppose quatre figures emblématiques de la France des années 50.
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Alice Guy, 1906
À la Poste, une femme utilise la langue de sa bonne pour humecter ses timbres. Un client qui les observe avidement, ne peut s’empêcher d’embrasser la soubrette et se retrouve collé à celle-ci. Un garçon les sépare avec des ciseaux mais la moustache du monsieur a adhéré à la bouche de la bonne.
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Alice Guy, 1906
Dans une chambre à coucher, une vieille femme se plaint de l’état de son matelas auprès de son mari. Le couple décide de le faire réparer par une cardeuse. Alors que celle-ci s’accorde une pause au café du coin, un ivrogne avise le matelas et décide d’y faire sa sieste. La femme revient et termine son travail mais en rapportant le matelas à ses propriétaires elle constate que l’objet est retors…