Alain Resnais

Films dans la base

  • On connaît la chanson

    Chassés-croisés en chansons entre six personnages qui s’aiment et se déchirent, dans un Paris théâtral.

  • Je t’aime, je t’aime

    Claude Ridder, rescapé d’une tentative de suicide, représente un cas qui intéresse les savants. Puisqu’il a vécu entre la vie et la mort, il est le cobaye idéal pour un voyage dans le temps. Claude accepte de se soumettre à l’expérience.

  • Muriel ou le temps d’un retour

    Muriel est un des rares films linéaires de Resnais, sur le poids des souvenirs, du passé, l’angoisse du temps qui passe. Muriel n’étant pas un film sur l’Algérie, mais un film où il en est question comme d’une pensée gênante, Resnais par ce propos subtil échappa à la censure très pointilleuse de l’époque.

  • Hiroshima mon amour

    En août 1957, à Hiroshima, une actrice française termine un film sur la paix. Elle s’éprend d’un architecte japonais le dernier jour du tournage. Ils ont vingt-quatre heures devant eux pour vivre cette passion fulgurante.

  • Chant du styrène (Le)

    Sur commande des usines Péchiney, Alain Resnais réalise une enquête poétique sur les origines du plastique. De l’objet fini à la matière première, en passant par les étapes de la fabrication, Le Chant du styrène défait malicieusement le mythe industriel.

  • Mystère de l’atelier 15 (Le )

    Le rôle du médecin du travail dans une grande entreprise.

  • Toute la mémoire du monde

    Pour cette découverte de la Bibliothèque nationale, Alain Resnais a choisi de faire systématiquement explorer les lieux par la caméra, dans de grands mouvements lents et amples que la musique de Maurice Jarre soutient d’un ostinato grave et profond.

  • Nuit et brouillard

    Réalisé en 1955, le célèbre film d’Alain Resnais Nuit et Brouillard est resté le documentaire de référence sur la déportation. A l’aide de documents d’archives, il retrace le lent calvaire des déportés.

  • Statues meurent aussi (Les)

    A travers l’art africain et plus spécialement les statues et les masques nègres, Alain Resnais filme une virulente diatribe contre les insoupçonnables méfaits du colonialisme.

  • Guernica

    Le 26 avril 1937, la petite ville espagnole, républicaine, de Guernica est bombardée par l’armée franquiste. Elle est rasée et incendiée. Cest la première fois dans l’histoire que l’aviation s’attaque ainsi à une population civile. On dénombra deux mille morts.

  • Van Gogh

    Cet hommage à Van Gogh, apôtre de la couleur, est réalisé en Noir et Blanc. Mais ce parti pris paradoxal permet de saisir toute la vigueur du trait, du mouvement et des vibrations du pinceau de l’artiste.