Robert Bober
Films dans la base
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Ce film donne la parole à l’écrivain italien Erri De Luca, que l’on suit à Naples ainsi que dans sa maison près de Rome. Après avoir milité au sein de l’extrême gauche dans les années 1970, il choisit d’exercer divers métiers manuels et d’apprendre des langues anciennes avant de devenir écrivain.
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Classée en 1863, une petite rue de Ménilmontant, à Paris, est déclarée insalubre et est détruite 100 ans plus tard. L’écrivain Georges Perec y a vécu enfant. À partir de ses écrits et de clichés pris par de grands photographes, Robert Bober fait revivre la rue.
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Comment se transmet la terre entre générations ? En Lozère et dans le Perche notamment, des familles témoignent de l’influence des pratiques successorales d’ancien régime sur la société rurale. Cette « histoire juridique des paysages » montre comment, par exemple, la disparité entre le nord et le sud a façonné jusqu’à nos jours les paysages, les modes de vie et l’économie…
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Droits de l’homme et le droit de la femme (Les)
La Révolution française a-t-elle donné des droits aux femmes ? La question est traitée par la mise en scène d’une séance de répétition d’une pièce de théâtre fictive.
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Récits d’Ellis Island (Parties 1 et 2)
Entre 1882 et 1924, près de 16 millions d’émigrants en provenance d’Europe sont passés par le centre d’accueil d’Ellis Island, îlot de quelques hectares dans le port de New-York. Le réalisateur Robert Bober et l’écrivain Georges Perec ont voulu rendre compte de ce qui reste du lieu.
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Réfugié provenant d’Allemagne, apatride d’origine polonaise
Robert Bober a retrouvé le quartier, la rue, la boutique de son père, originaire de Radom en Pologne. Il a cherché les traces de la culture juive assassinée avec son peuple.
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Face à la crise des patrons parlent
Interviews des dirigeants de quatre grandes entreprises françaises des années 70 (Poclain, Lainières de Roubaix, Sommer-Allibert, St Gobain-Pont-à-Mousson).
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Génération d’après (La) - Les Femmes aussi -
Robert Bober est parti à la rencontre d’anciens enfants pensionnaires comme lui du château d’Andrésy à Clamart, dit « le manoir », enfants orphelins juifs dont les parents avaient été déportés ou fusillés.