Editions Potemkine
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Films dans la base
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Dominique Abel, Fiona Gordon, 2015
Fiona, bibliothécaire canadienne, débarque à Paris pour venir en aide à sa vieille tante en détresse. Mais Fiona se perd et tante Martha a disparu.C’est le début d’une course-poursuite dans Paris à laquelle s’invite Dom, SDF égoïste et aussi séducteur que collant.
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Les Scotcheuses, 2015
Ce film a été réalisé collectivement dans l’effervescence et la magie de deux semaines d’ateliers cinéma super-8 à la ZAD de Notre-Dame des Landes.
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Les Scotcheuses, 2015
Un film tourné par les Scotcheuses à la ZAD de Notre-Dame-des-Landes avec ses habitant-e-s. Entre fiction et documentaire, western post-apolitique et chevauchée fantastique…
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Dieudo Hamadi, 2014
À Kisangani, un groupe de lycéens qui n’ont pas les moyens de s’acquitter de la « prime des professeurs » s’organise pour préparer ensemble l’examen d’État. Ce documentaire suit ce groupe, et mêle désaffection pour la vénérable institution et nécessité pour les adolescents de décrocher malgré tout le baccalauréat congolais, dit « examen d’État ».
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Dominique Cabrera, 2013
pendant sept ans, Dominique Cabrera a filmé sa famille. Elle a cherché à filmer ce qu’est une famille, ce qui se transmet dans sa famille depuis les ressemblances et les prénoms jusqu’aux insomnies et à la bonne cuisine. Ô heureux jours se déploie dans le temps mais aussi dans l’espace. Entre la France, les États-Unis où vit un de ses frères et l’Algérie où elle a été avec sa sœur chercher les traces du passé.
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Laurent Chollet, 2012
La cinéphilie : une histoire d’amitiés et de « bandes », d’influences et de filiations, racontée dans ce film par tous les « passeurs de cinéma » et autres « ciné-fils » qui en furent les artisans et les témoins privilégiés.
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Dominique Cabrera, 1997
Entre le je et le nous, entre l’amour et la psychanalyse, entre sa mère et son fils, une femme d’aujourd’hui. Avec un camescope, pendant presque un an, elle filme la naissance de l’amour, les élections et la dépression, le soleil par la fenêtre, les vacances et les gens dans le métro…
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Victor Kossakovsky, 1993
Entre documentaire sur la condition paysanne et poème à la gloire de la Russie éternelle, Belovy est une œuvre enthousiasmante qui redéfinit la frontière entre fiction et réalité.
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Elem Klimov, 1984
Pendant la Seconde Guerre mondiale, Fliora, jeune garçon d’un village de Biélorussie occupé par les troupes nazies, s’engage, bien que trop jeune, chez les partisans. Il va découvrir l’amour, la fraternité, la souffrance, la guerre
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Jeudi on chantera comme dimanche
Luc de Heusch, 1967
Luc de Heusch, à la fois cinéaste et ethnologue, signe avec Jeudi on chantera comme dimanche son unique film de fiction. Jean qui rêve de devenir son propre patron saute sur l’occasion qui, pense-t-il va lui permettre d’accéder à son rêve, abandonnant par la même occasion ses camarades en grève. Mettant à profit ses talents de documentariste, le réalisateur dépeint les conséquences néfastes de la société de consommation sur les individus et le délitement de la conscience de classe.
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Jacques Rozier, 1963
Paris, 1960. Michel doit partir faire son service en Algérie, il séduit deux amies inséparables « comme les amandes philippines »… Improvisation, lyrisme et fausse légèreté sur fond de guerre annoncée…
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Chris Marker, Pierre Lhomme, 1963
Filmé en deux parties dans le Paris du mois de mai 1962, Chris Marker interroge des hommes et des femmes sur les problèmes politiques, sociaux et de leur vie quotidienne.
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Mikhaïl Kalatozov, 1957
Moscou, 1941. Veronika et Boris sont éperdument amoureux. Mais lorsque l’Allemagne envahit la Russie, Boris s’engage et part sur le front. Mark, son cousin, évite l’enrôlement et reste auprès de Veronika qu’il convoite. Sans nouvelle de son fiancé, dans le chaos de la guerre, la jeune femme succombe aux avances de Mark. Espérant retrouver Boris, elle s’engage comme infirmière dans un hôpital.