Paris courts devant
Paris – octobre
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Il y a, et il y aura toujours, et partout, quelqu’un qu’une force irrépressible poussera un jour à se lever, prendre une caméra et oser filmer, ou réinventer son monde. Le format court permet, on le sait, d’aborder plusieurs mondes de cinéma en une seule séance. De la blague hilarante à l’émotion pure, de l’autoprod’ explosive au film court ambitieux largement soutenu par les investisseurs institutionnels, notre choix se portera toujours, et la durée du film n’a rien à voir là-dedans, vers le Grand Cinéma. Celui qui nous émeut, qui nous fait rire et pleurer, nous plonge dans l’imaginaire ou dans le réel, si brutal soit-il, à force d’artifice et de vérité… Un cinéma talentueux, drôle, exigeant, fort, passionnant, inédit, paradoxal… En un mot, vibrant !!
Paris Courts Devant persiste, au point de rencontre si essentiel et si fragile entre les professionnels et le public, et crée un lieu bouillonnant où se croisent les enthousiasmes et les projets, ceux qui font les films, ceux qui les rendent possibles et ceux dont la passion est de les découvrir, pour le plaisir sans mélange de se frotter au plus près à l’aventure cinématographique.
(source : Paris Courts Devant)
Films dans la base
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Jonathan Millet, 2017
Simon s’enfonce dans les tréfonds de la ville, là où la lumière du jour n’est plus. Il doit retrouver rapidement celui qu’il cherche. Un Camer sans-papiers, comme lui.
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Jean-Gabriel Périot, 2007
Parce que Jean-Gabriel Périot sait très bien qu’entre l’horreur et la façon de la représenter, il existe un gouffre immense, cet humaniste convaincu a voulu témoigner à sa façon de la plus grande catastrophe nucléaire que le monde a connue et raviver ainsi les flammes d’un souvenir honteux. « Nijuman no borei » rappelle avec une originalité remarquable la nuit du 6 août 1945, celle qui a vu la destruction d’Hiroshima.