Côté Court
Pantin – juin
• 6, rue Jules Auffret • 93 500 PANTIN • Tel : 01 48 10 30 51 • @ : contact@cotecourt.org
Festival international du film court de Pantin.
Depuis 1992, Côté court est le festival dédié aux formes courtes qui repère les cinéastes et artistes d’aujourd’hui et de demain.
Côté court, c’est 10 jours de cinéma, d’art vidéo, de performances, de live, de rencontres et de journées professionnelles. Depuis 1992, Côté court c’est une programmation riche, une envie de montrer, de partager et de vivre pleinement.
Côté court, c’est aussi une démarche active tout au long de l’année, au travers de nombreuses actions culturelles qui emmènent le cinéma auprès de tous les publics, des bancs des écoles aux hôpitaux, en passant par les bibliothèques et les prisons.
Note d’intention du festival
Côté court n’est pas un festival de court métrage. Côté court est un lieu unique. Côté court est une fourmilière de talents. Côté court est une zone artistique en mouvement. Côté court permet toutes les rencontres.
Tous ceux dont les œuvres sont montrées chaque année, cinéastes et artistes, s’emparent d’une caméra par nécessité. L’équipe du festival souhaite faire découvrir ce cinéma appelé « court-métrage » dans sa plus large expression, sur des terres sans frontières.
Côté court défend ce format-là, ces durées-là, cette forme libre. Côté court soutient une certaine idée du cinéma, des images en mouvement, à travers une programmation riche et pointue, que Jacky Evrard orchestre depuis le début. Une programmation qui allie films, vidéos d’art, essais, performances, ciné-concerts, « live » et rencontres professionnelles.
Films dans la base
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Emmanuel Marre, 2018
Ce documentaire qui tient son titre du roman éponyme de Céline, est le récit d’une quête, épopée contemporaine de Pierre, jeune science-piste d’une vingtaine d’années qui se cherche. Il travaille en tant qu’auxiliaire de vie chez Francine, septuagénaire en fauteuil-roulant qui lui loue une chambre contre ses services. Pierre est mal à l’aise dans son corps, il n’arrive pas à se fondre dans la masse de ses camarades et il hésite quant à qui voter, alors que se déroule la campagne présidentielle 2017. C’est au contact de cette femme qu’il va pouvoir s’ouvrir.
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Lucas Roxo, 2016
En février 1971, Léonor quitte le Portugal pour s’installer en France. Sa fille ne la rejoindra qu’au bout de quatre mois. Quarante ans plus tard, nous retraçons le chemin de l’exil pour ausculter la distance créée par le passage de la frontière. En réécrivant les lettres jamais prononcées, en revenant sur les lieux de l’époque, un nouveau mouvement s’enclenche.
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Ludivine Henry, 2013
Comment les histoires que l’on se raconte se transmettent-elles ? Comment appréhende-t-on son histoire familiale ? Qu’en reste-t-il ?
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Pascale Hannoyer, 2013
Ce documentaire dresse le portrait d’une bande de jeunes dans les quartiers pauvres de Rio.
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Jean-Gabriel Périot, 2007
Parce que Jean-Gabriel Périot sait très bien qu’entre l’horreur et la façon de la représenter, il existe un gouffre immense, cet humaniste convaincu a voulu témoigner à sa façon de la plus grande catastrophe nucléaire que le monde a connue et raviver ainsi les flammes d’un souvenir honteux. « Nijuman no borei » rappelle avec une originalité remarquable la nuit du 6 août 1945, celle qui a vu la destruction d’Hiroshima.