Cobra Films
• Boîte Postale : Boulevard Emile Bockstael, 88 • Accès : Porte cochère nº 114 • 1020 Bruxelles • BELGIQUE • Tél : 32 (0) 2 544 19 69 • @ : contact@cobra-films.be
Films dans la base
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Tülin Özdemir, 2019
Tülin Özdemir raconte l’histoire de sa tante Tüncay, arrachée à son village d’Anatolie, à 9 ans pour rejoindre sa sœur en Belgique et s’occuper de ses neveux et nièces. À l’adolescence, un mariage arrangé et une grossesse précoce propulsent brusquement Tüncay dans une vie de femme soumise à une réalité qu’elle n’a pas eu le temps de penser. La violence de cette réalité se heurte à ses rêves et tout implose…
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Caroline D’Hondt, 2016
Dans le désert, à la frontière entre le Mexique et les États-Unis, ce documentaire nous emmène à la découverte du territoire des Indiens Tohono O’odhams. En quête d’un avenir meilleur, de nombreux migrants venus du Mexique transitent par ce désert malgré la militarisation accrue. Victimes, eux aussi, de l’intensification du contrôle des frontières, ces Indiens tentent comme ils peuvent de prendre soin des migrants de passage
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Yaël André, 2013
À travers la figure d’un ami disparu et les morceaux récupérés de vieux films d’amateurs en super-huit, Yaël André signe d’éblouissantes variations sur le deuil, le temps qui passe, le cinéma et les vies qu’il permet d’inventer.
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Marie-France Collard, 2011
À Bruxelles, comme à Kigali, des rescapés du génocide des Tutsis et des massacres des Hutus modérés croisent régulièrement des suspects présumés. À la lumière d’affaires judiciaires en cours, nous suivrons le parcours de rescapés dans leur demande justice.
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Pierre-Yves Vandeweerd, 2010
A partir de récits de fuite et d’exil, d’interminables attentes, de vies arrêtées et persécutées, venus des deux côtés du mur du Sahara, ce film témoigne sur le peuple sahraoui, sur son territoire, sur son enfermement dans les rêves des uns et des autres.
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Pierre-Yves Vandeweerd, 2008
Les quatre récits qui habitent ce film nous entraînent de la Belgique aux rives du fleuve Sénégal, des Ardennes françaises aux montagnes du Sahara occidental. Ils ont pour point commun de nous guider à la rencontre des dormants. Des hommes et des femmes évoluant entre deux mondes, celui des absents et celui des vivants, entre deux états, celui de l’éveil et celui du sommeil.
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Pierre-Yves Vandeweerd, 2007
Le Cercle des noyés est le nom donné aux détenus politiques noirs en Mauritanie, enfermés à partir de 1987 dans l’ancien fort colonial de Oualata. Ce film donne à découvrir le délicat travail de mémoire livré par l’un de ces anciens détenus qui se souvient de son histoire et de celle de ses compagnons.
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Cesar Paes, Raymond Rajaonarivelo, 2005
En malgache, « Mahaleo » signifie libre, indépendant et autonome. Les sept musiciens du groupe ont toujours refusé le show-business malgré trente ans de succès, et ont choisi de s’engager dans le développement de leur pays. Ces précurseurs du blues malgache sont aussi médecins, chirurgien, agriculteur, sociologue ou député… Guidé par la force et l’émotion de leurs chansons, le film est un portrait de Madagascar d’aujourd’hui.
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Tu seras communiste, mon fils !
Jean-Christophe Victor, 2003
Pourquoi, à ton avis, tu crois que je fais ce film papa ? « Oh, je pense que tu ne dois pas avoir que des raisons commerciales… Tu dois avoir aussi des raisons personnelles… » Le réalisateur revient vers sa famille, et plus précisément auprès de son père, militant communiste depuis 60 ans. Trois générations se télescopent pour parler de politique, d’engagement et peut-être d’amour…
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Marc-Antoine Roudil, Sophie Bruneau, 2001
Arbres est une histoire de l’Arbre et des arbres. Il commence par les Origines puis voyage à travers le monde des arbres et les arbres du monde. Le film raconte les grandes différences et les petites similitudes entre l’Arbre et l’Homme avec l’idée prégnante que l’arbre est au règne végétal ce que l’homme est au règne animal.
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Cesar Paes, 2000
Au rythme des « repentes », des rimes et des joutes musicales improvisées, les migrants du Nordeste racontent Saõ Paulo. Ou comment les troubadours nordestins inventent la culture urbaine du futur :« Avec ou sans complice A Sao Paulo je me sens bien .Nous les paysans métis venons du Nordeste lointain.Sao Paulo te coute ta chemise mais on peut rafler la mise. »
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Marc-Antoine Roudil, Sophie Bruneau, 1999
Histoires croisées de quatre situations notariales dans une étude de campagne en Haute-Auvergne.
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Cesar Paes, 1996
Le bouillon d’Awara est une sorte de pot-au-feu aux multiples ingrédients. À partir de la recette de cuisine, prise à la fois comme métaphore et comme pratique concrète, le film s’infiltre dans la réalité multiculturelle qui compose la Guyane et apporte un regard neuf sur les questions d’immigration, d’intégration et de métissage.
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André Cayatte, 1971
1968, Danielle Guenot est professeur dans un lycée de Rouen. Dans l’exaltation encore fraîche du mois de mai passé, Danielle et l’un de ses élèves, Gérard Le Guen, s’aiment. Mourir d’aimer résonne comme l’adieu aux utopies de mai 1968, comme le constat d’une rencontre à jamais manquée entre les générations.