Ciné tamaris

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Films dans la base

  • Plages d’Agnès (Les)

    Agnès Varda, 2008

    En revenant sur les plages qui ont marqué sa vie, Varda invente avec Les Plages d’Agnès une forme d’auto-documentaire. Agnès se met en scène au milieu d’extraits de ses films, d’images et de reportages. Elle nous fait partager avec humour et émotion ses débuts de photographe de théâtre, puis de cinéaste novatrice dans les années 1950, sa vie avec Jacques Demy, son engagement féministe, ses voyages à Cuba, en Chine et aux États-Unis, son parcours de productrice indépendante, sa vie de famille et son amour des plages.

  • Quelques veuves de Noirmoitier

    Agnès Varda, 2004

    Des vieilles femmes au visage creusé par le sel racontent des bribes de leur vie d’autrefois, passée le plus souvent en l’absence de leur mari parti à la pêche.

  • Ydessa, Les ours et etc…

    Agnès Varda, 2004

    Une collectionneuse – commissaire d’exposition – artisteet ses Teddy Bears mêlés à l’Histoire…

  • Lion volatil (Le)

    Agnès Varda, 2003

    Courte aventure entre 3 personnages : Clarisse, apprentie-voyante, Lazare, employé aux Catacombes de Paris et le Lion de Belfort, en bronze.

  • Deux ans après

    Agnès Varda, 2002

    Ce qui est arrivé après la sortie du film ‘Les glaneurs et la glaneuse’…

  • Glaneurs et la glaneuse (Les)

    Agnès Varda, 2000

    Agnès Varda rencontre ceux qui, pour vivre, ramassent ou récupèrent les «  restes  » des autres : déchets de fin de marchés, objets abandonnés sur les trottoirs…Ceux qu’elle appelle les glaneurs de notre temps.

  • Univers de Jacques Demy (L’)

    Agnès Varda, 1995

    A la rencontre de Jacques Demy… pour donner envie de voir ou revoir ses films

  • Cent et une nuits (Les)

    Agnès Varda, 1994

    Monsieur Cinéma est presque centenaire. Ex-acteur, producteur et réalisateur, il croit être le cinéma à lui tout seul et vit dans un château-musée avec son majordome, Firmin.

  • Les demoiselles ont eu 25 ans

    Agnès Varda, 1992

    En 1992, la Ville a fait une grande fête pour célébrer les 25 ans des Demoiselles. Le souvenir du bonheur, c’est peut-être encore du bonheur.

  • Jacquot de Nantes

    Agnès Varda, 1991

    Il était une fois un garçon élevé dans un garage où tout le monde aimait chanter. C’était en 1939, il avait 8 ans. Puis il a voulu faire du cinéma mais son père lui a fait étudier la mécanique. C’est de Jacques DEMY qu’il s’ agit et de ses souvenirs.

  • T’as de beaux escaliers, tu sais !

    Agnès Varda, 1986

    Comment, en 150 secondes, rendre hommage à la Cinémathèque Française l’année de ses 50 ans, sinon en filmant les 50 marches qui montent vers le Musée du cinéma et descendent vers la salle obscure où sont projetés des chefs d’œuvres aux escaliers célèbres !

  • Jane B. par Agnès V.

    Agnès Varda, 1985

    Le film est un portrait-en-cinéma où l’on découvre Jane Birkin sous toutes ses formes, dans tous ses états et en plusieurs saisons, elle-même en sa diversité et aussi d’autres Jane…

  • Dîtes cariatides (Les)

    Agnès Varda, 1984

    L’inventaire par Agnès des femmes en pierre qui soutiennent, nues, des portes et des balcons à Paris.

  • 7 P., Cuis. S.de B…(à saisir)

    Agnès Varda, 1984

    Quand on propose des images qui excitent l’imaginaire du spectateur.

  • Minute pour une image (Une)

    Agnès Varda, 1983

    Une minute de commentaire dite par une voix anonyme pour chaque photographie.

  • Ulysse

    Agnès Varda, 1982

    En flirtant avec la mémoire, on tombe sur des os…

  • Documenteur

    Agnès Varda, 1981

    L’autre côté de Los Angeles sans soleil ni glamour, à travers l’histoire d’une femme exilée.

  • Mur, murs

    Agnès Varda, 1980

    Documentaire sur les murals, les murs peints à Los Angeles. Qui les peint ? Qui les paie ? Qui les regarde ? Comment cette ville se révèle – avec ses habitants – par ses murs murmurants.

  • Réponses de femmes

    Agnès Varda, 1977

    Des femmes prennent successivement la parole pour dénoncer le conditionnement que leur impose dès l’enfance une société machiste et revendiquent le droit d’exister en tant qu’individus à part entière. Un ciné-tract représentatif de la vigueur de la revendication féministe dans les années 1970.

  • Plaisir d’amour en Iran

    Agnès Varda, 1976

    Ce court-métrage est une variation sur les émois amoureux de Pomme et Ali Darius.

  • Daguerréotypes

    Agnès Varda, 1975

    A travers leurs témoignages, la vie de quelques commerçants de la rue Daguerre à Paris.

  • Lion’s love

    Agnès Varda, 1969

    Trois acteurs - Viva, Jim, Jerry sur le chemin de la « staricité » et sur celui non moins difficile de la maturité vivent dans une maison louée sur une colline de Hollywood. Ils ont tous les trois des crinières de lion.

  • Black Panthers

    Agnès Varda, 1968

    En 1968, les Black Panthers d’Oakland font des rallyes d’information sur le procès politique d’un de leurs leaders, Huey Newton, afin d’attirer l’attention des Américains et de mobiliser les consciences noires.

  • Oncle Yanco

    Agnès Varda, 1967

    C’est un portrait- reportage du peintre Jean Varda, mon oncle. Dans les faubourgs aquatiques de San Fransisco, centre intellectuel et cœur de la bohème, il navigue à la voile latine et peint des villes célestes et byzantines, car il est grec.

  • Créatures (Les)

    Agnès Varda, 1965

    Ce film raconte une double histoire : la vie d’un couple et la naissance d’un roman. La vie comme un jeu d’échecs dans un conte sans fées.

  • Elsa la rose

    Agnès Varda, 1965

    Un couple de légende dans le Montparnasse des années folles.

  • Bonheur (Le)

    Agnès Varda, 1964

    Un menuisier aime sa femme, ses enfants et la nature. Ensuite il rencontre une autre femme, une postière, qui ajoute du bonheur à son bonheur.

  • Salut les cubains

    Agnès Varda, 1963

    Agnès Varda rapporte de Cuba mille huit cents photos en noir et blanc, images prises quatre ans après l’arrivée au pouvoir de Fidel Castro. Elle les filme en rythme et les commente, portant ainsi à l’écran un fulgurant kaléidoscope résonnant au son des espoirs de la révolution et des percussions.

  • Cléo de 5 à 7

    Agnès Varda, 1961

    Cléo, belle et chanteuse, attend les résultats d’une analyse médicale. Cléo vit quatre-vingt-dix minutes particulières. Son amant, son musicien, une amie puis un soldat lui ouvrent les yeux sur le monde.

  • Fiancés du pont Mac donald (Les)

    Agnès Varda, 1961

    Un jeune homme voit la vie en noir quand il porte des lunettes noires. Il lui suffit de les ôter pour que les choses s’arrangent

  • Du côté de la côte

    Agnès Varda, 1958

    La Côte d’Azur vue en couleurs par Agnès Varda, qui cultive le mot d’auteur et l’image insolite. Film de commande transformé en un essai sur le tourisme, non sans un certain humour.

  • Opera mouffe (L’)

    Agnès Varda, 1958

    Carnet de notes d’une femme enceinte sur la rue Mouffetard (5e) et son marché. L’Opéra-mouffe nous donne un aperçu de ce qu’était le Paris des années 50, plein de misère, de mort et de vie.

  • Ô saisons, ô châteaux

    Agnès Varda, 1957

    Promenade autour des châteaux de la Loire montrés par ordre chronologique (de construction) avec commentaires incluant des poèmes du XVIème siècle et des réflexions de jardiniers.

  • Pointe courte

    Agnès Varda, 1954

    Un couple sur le point de se séparer, se questionne dans les lieux que la femme découvre, là où l’homme a été élevé, un petit village de pêcheurs près de Sète, La Pointe Courte.

  • Kung-Fu Master

    Agnès Varda

    Au cours d’un printemps pluvieux, une femme de presque 40 ans, Mary-Jane, tombe amoureuse ou plutôt glisse amoureuse d’un garçon de presque 15 ans, Julien, camarade de classe de sa fille Lucy. Mystères des attirances, des désirs et des timidités, errances et erreurs du cœur…