Gaumont
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Films dans la base
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Passion de Dodin Bouffant (La)
Tran Anh Hung, 2023
Au XIXe siècle, un couple hédoniste mitonne des plats spectaculaires. Un chef-d’œuvre de mise en scène, récompensé au festival de Cannes 2023.
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Xavier Giannoli, 2021
L’ascension et la chute de Lucien de Rubempré, petit poète venu tenter sa chance à Paris. Avec cette adaptation de l’œuvre phare de Balzac, Xavier Giannoli signe une fresque flamboyante et cruelle, qui tend un miroir grimaçant à notre époque.
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Grand corps malade, Mehdi Idir, 2019
Samia Zibra, jeune et inexpérimentée, débute comme conseillère principale d’éducation dans un collège en zone d’éducation prioritaire en Seine-Saint-Denis. Elle y rencontre de nombreux problèmes mais découvre également l’incroyable vitalité et l’humour qui règnent dans l’établissement.
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Mohamed Hamidi, 2018
Un petit club de foot risque de disparaître quand toute son équipe est suspendue pour cause de bagarre sur le terrain. Seule solution pour finir la saison : remplacer les joueurs par… des joueuses !
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Éric Toledano, Olivier Nakache, 2011
Tout les oppose et il était peu probable qu’ils se rencontrent un jour, et pourtant. Philippe, un riche aristocrate devenu tétraplégique après un accident de parapente va engager Driss, un jeune homme d’origine sénégalaise tout droit sorti de prison, comme auxiliaire de vie à domicile. Pourquoi lui ? Tout simplement parce qu’il ne regarde pas Philippe avec le même regard de pitié que les autres candidats.
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Xavier Durringer, 2011
Le film évoque l’ascension au pouvoir de Nicolas Sarkozy, de sa nomination au poste de ministre de l’Intérieur en 2002 à son élection à la tête de l’État français en 2007.
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Adam Elliot, 2009
L’amitié entre une petite fille grassouillette de 8 ans et un homme de 44 ans, obèse, atteint de la maldie d’Asperger. Tous deux vivent respectivement à Melbourne et New York.
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Voyage avec Martin Scorsese à travers le cinéma américain (Un)
Martin Scorsese, 2001
Toute la compétence et la passion de Martin Scorsese pour nous faire (re)découvrir la magie des grands classiques du cinéma italien : De Sica, Rosselini, Fellini, Visconti, Antonioni…un documentaire à voir et à revoir.
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Jean-Luc Godard, 1999
Citant, juxtaposant, triturant, célébrant le 7e art comme une synthèse des six autres, Godard refait le XXe en un vertigineux rébus.
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Ciné colonial. Le Maghreb au regard du cinéma français (Le )
Moktar Ladjimi, Youssef El Ftouh, 1997
Dès que les films Lumière ou Méliès ont révélé les possibilités du cinéma, la France n’a cessé de nourrir sa politique coloniale dans le Maghreb d’une imagerie de propagande, où le manichéisme le disputait aux grandes envolées civilisatrices. À l’appui de cette théorie, Youssef El Ftouh et Moktar Ladjimi convoquent témoins et extraits de films pour retracer une histoire du cinéma colonial français.
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JLG/JLG, autoportrait de décembre
Jean-Luc Godard, 1995
Sous forme d’autoportrait, Godard se filme et évoque sa conception de l’art, du cinéma et de la vie… Une succession de collages et de surimpressions sonores, d’aphorismes et de syllogismes, d’images lumineuses traduisent la pensée inclassable d’un artiste prophète…
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Leos Carax, 1991
L’histoire d’un amour fou entre deux jeunes gens, Alex, cracheur de feu et Michèle, belle vagabonde, de 1989 a 1991, ayant pour décor le plus vieux pont de Paris, le Pont-Neuf.
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Maurice Pialat, 1983
A quinze ans, Suzanne découvre avec lucidité et une certaine amertume que ce qu’elle aime faire avec les hommes, c’est l’amour et rien d’autre. Le reste ne serait-il qu’ennuie ou illusion ?
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Jean-Luc Godard, 1981
Jean-Luc Godard adresse une lettre audiovisuelle à Freddy Buache, fondateur de la Cinémathèque suisse et grand admirateur du cinéaste. Il filme Lausanne, ville qui a perdu toute sa poésie, et ses habitants et parle de ce qui fait le cinéma : de la lumière, des mouvements et des couleurs.
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Michel Drach, 1979
Christian Ranucci, vingt-deux ans, est déclaré coupable du viol et du meurtre d’une petite fille. Malgré l’absence de preuves irréfutables, les lacunes et les erreurs de l’enquête, il est guillotiné le 28 juillet 1976 à 4h13 dans la cour de la prison des Baumettes. Le film de Michel Drach est l’authentique autopsie d’une affaire judiciaire. Au-delà du cas particulier de Christian Ranucci, il est une excellente leçon de chose sur la faillibilité de la justice des hommes.
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Patrice Chéreau, 1978
Veuve d’un grand résistant, Judith Therpauve accepte de prendre la direction d’un grand quotidien fondé au lendemain de la Libération. Mais, très vite, elle se heurte aux manœuvres des uns et aux revendications des autres.
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Christ s’est arrèté à Eboli (Le)
Francesco Rosi, 1978
Anti-fasciste notoire, Carlo Levi est assigné à résidence en 1935 dans un petit village du sud de l’Italie. Romancier et medecin, il se met peu a peu à soigner les paysans pauvres de la campagne. Ce que ne supportent pas les notables du village.
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Michel Mitrani, 1974
Un jeune étudiant, averti de l’imminente rafle, se rend dans le quartier Saint-Paul pour tenter de sauver quelques personnes. Il rencontre une jeune fille juive et tente de la sauver en traversant vers la rive gauche.
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Louis Malle, 1974
Un documentaire qui filme minutieusement le travail d’hommes et de femmes dans une usine d’automobiles en tentant de faire sentir ce que peut être la répétition des mêmes gestes pendant 8 heures d’affilée.
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André Harris, Alain de Sédouy, Jacques Brissot, Luc Favory, 1972
Film en trois parties pour raconter aux Français un demi-siècle de leur histoire : - En passant par la Lorraine. - Général nous voilà. - Je vous ai compris.
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Jean-Luc Godard, Jean-Pierre Gorin, 1969
Une grève d’acteurs et de techniciens sur le tournage d’un western.
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Jean-Luc Godard, Groupe Dziga Vertov, 1968
Discussions entre étudiants et ouvriers, séquences muettes de mai 1968, pistes sonores qui se chevauchent…
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One + one (Sympathy for the devil)
Jean-Luc Godard, 1968
Film mythique réalisé en 1968 avec les Rolling stones
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Jean-Luc Godard, 1967
Dans un appartement dont les murs sont recouverts de petits livres rouges, des jeunes gens étudient la pensée marxiste-léniniste. Réalisé un an avant les événements de Mai 68, La Chinoise est considéré comme un film prophétique.
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Georges Lautner, 1963
Sur son lit de mort, le Mexicain fait promettre à son ami d’enfance, Fernand Naudin, de veiller sur ses intérêts et sa fille Patricia. Fernand découvre alors qu’il se trouve à la tête d’affaires louches dont les anciens dirigeants entendent bien s’emparer. Mais, flanqué d’un curieux notaire et d’un garde du corps, Fernand impose d’emblée sa loi.
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Louis Malle, 1960
La découverte de Paris par une petite provinciale, qui veut absolument prendre le métro.
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Jean Grémillon, Pierre Kast, 1949
En évoquant les salons de peinture de 1860 à 1910, Jean Grémillon et Pierre Kast ont fait le procès pince-sans-rire de la société française de la fin du siècle dernier.
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Jacques Becker, 1946
Antoine, ouvrier imprimeur, aime Antoinette, jolie et coquette vendeuse dans un grand magasin des Champs-Elysées. Leur vie réglée et heureuse, faite de petits riens, de gentillesse, d’un peu de jalousie et de rêve aussi, frôlera une fois le drame sous la forme d’un billet de loterie perdu mais finalement retrouvé.
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Abel Gance, 1937
Après avoir vécu la première guerre mondiale, Jean Diaz se consacre à l’invention d’une machine pour empêcher la guerre.
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Jean Vigo, 1934
L’Atalante est en rupture totale avec la majeure partie du cinéma français des années trente, cinéma de prose dur et réaliste, parfois cynique. Fragile et souvent balbutiant, L’Atalante n’est au contraire que poésie, traversée de quelques éclairs surréalistes.
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Jean Vigo, 1933
Trois internes se rebellent et organisent une révolte dans un collège de province. Une oeuvre longtemps censurée toujours d’avant-garde du cinéma français.
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Jean Vigo, 1930
Jean Vigo tourne un pamphlet virulent où Nice devient le lieu clos d’un conflit entre deux mondes.