Ciné Tamaris
• 88, rue Daguerre • 75014 Paris • tél : 01 43 22 66 00 • fax : 01 43 21 75 00 • mail : cine-tamaris@wanadoo.fr
Films dans la base
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Quelques veuves de Noirmoitier
Agnès Varda, 2004
Des vieilles femmes au visage creusé par le sel racontent des bribes de leur vie d’autrefois, passée le plus souvent en l’absence de leur mari parti à la pêche.
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Agnès Varda, 2004
Une collectionneuse – commissaire d’exposition – artisteet ses Teddy Bears mêlés à l’Histoire…
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Agnès Varda, 2003
Courte aventure entre 3 personnages : Clarisse, apprentie-voyante, Lazare, employé aux Catacombes de Paris et le Lion de Belfort, en bronze.
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Agnès Varda, 2002
Ce qui est arrivé après la sortie du film ‘Les glaneurs et la glaneuse’…
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Agnès Varda, 2000
Agnès Varda rencontre ceux qui, pour vivre, ramassent ou récupèrent les « restes » des autres : déchets de fin de marchés, objets abandonnés sur les trottoirs…Ceux qu’elle appelle les glaneurs de notre temps.
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Agnès Varda, 1995
A la rencontre de Jacques Demy… pour donner envie de voir ou revoir ses films
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Agnès Varda, 1994
Monsieur Cinéma est presque centenaire. Ex-acteur, producteur et réalisateur, il croit être le cinéma à lui tout seul et vit dans un château-musée avec son majordome, Firmin.
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Agnès Varda, 1992
En 1992, la Ville a fait une grande fête pour célébrer les 25 ans des Demoiselles. Le souvenir du bonheur, c’est peut-être encore du bonheur.
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Agnès Varda, 1991
Il était une fois un garçon élevé dans un garage où tout le monde aimait chanter. C’était en 1939, il avait 8 ans. Puis il a voulu faire du cinéma mais son père lui a fait étudier la mécanique. C’est de Jacques DEMY qu’il s’ agit et de ses souvenirs.
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T’as de beaux escaliers, tu sais !
Agnès Varda, 1986
Comment, en 150 secondes, rendre hommage à la Cinémathèque Française l’année de ses 50 ans, sinon en filmant les 50 marches qui montent vers le Musée du cinéma et descendent vers la salle obscure où sont projetés des chefs d’œuvres aux escaliers célèbres !
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Agnès Varda, 1985
Le film est un portrait-en-cinéma où l’on découvre Jane Birkin sous toutes ses formes, dans tous ses états et en plusieurs saisons, elle-même en sa diversité et aussi d’autres Jane…
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Agnès Varda, 1984
L’inventaire par Agnès des femmes en pierre qui soutiennent, nues, des portes et des balcons à Paris.
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Agnès Varda, 1984
Quand on propose des images qui excitent l’imaginaire du spectateur.
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Agnès Varda, 1983
Une minute de commentaire dite par une voix anonyme pour chaque photographie.
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Jacques Demy, 1982
Sur fond de grèves et de conflits sociaux, à Nantes, François, un ouvrier en lutte, et Edith, une fille d’aristocrate, mal mariée à un bourgeois, s’aiment éperdument sous l’œil désabusé et impuissant de la veuve d’un colonel, mère d’Edith, chez qui François a pris la chambre en ville du titre.
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Agnès Varda, 1982
En flirtant avec la mémoire, on tombe sur des os…
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Agnès Varda, 1981
L’autre côté de Los Angeles sans soleil ni glamour, à travers l’histoire d’une femme exilée.
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Agnès Varda, 1980
Documentaire sur les murals, les murs peints à Los Angeles. Qui les peint ? Qui les paie ? Qui les regarde ? Comment cette ville se révèle – avec ses habitants – par ses murs murmurants.
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Agnès Varda, 1977
Des femmes prennent successivement la parole pour dénoncer le conditionnement que leur impose dès l’enfance une société machiste et revendiquent le droit d’exister en tant qu’individus à part entière. Un ciné-tract représentatif de la vigueur de la revendication féministe dans les années 1970.
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Agnès Varda, 1976
Ce court-métrage est une variation sur les émois amoureux de Pomme et Ali Darius.
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Agnès Varda, 1975
A travers leurs témoignages, la vie de quelques commerçants de la rue Daguerre à Paris.
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Agnès Varda, 1969
Trois acteurs - Viva, Jim, Jerry sur le chemin de la « staricité » et sur celui non moins difficile de la maturité vivent dans une maison louée sur une colline de Hollywood. Ils ont tous les trois des crinières de lion.
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Agnès Varda, 1968
En 1968, les Black Panthers d’Oakland font des rallyes d’information sur le procès politique d’un de leurs leaders, Huey Newton, afin d’attirer l’attention des Américains et de mobiliser les consciences noires.
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Agnès Varda, 1967
C’est un portrait- reportage du peintre Jean Varda, mon oncle. Dans les faubourgs aquatiques de San Fransisco, centre intellectuel et cœur de la bohème, il navigue à la voile latine et peint des villes célestes et byzantines, car il est grec.
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Agnès Varda, 1965
Ce film raconte une double histoire : la vie d’un couple et la naissance d’un roman. La vie comme un jeu d’échecs dans un conte sans fées.
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Agnès Varda, 1965
Un couple de légende dans le Montparnasse des années folles.
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Agnès Varda, 1964
Un menuisier aime sa femme, ses enfants et la nature. Ensuite il rencontre une autre femme, une postière, qui ajoute du bonheur à son bonheur.
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Jacques Demy, 1963
À Cherbourg, la guerre d’Algérie sépare deux jeunes amants qui se sont déclaré un amour éternel.
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Agnès Varda, 1963
Agnès Varda rapporte de Cuba mille huit cents photos en noir et blanc, images prises quatre ans après l’arrivée au pouvoir de Fidel Castro. Elle les filme en rythme et les commente, portant ainsi à l’écran un fulgurant kaléidoscope résonnant au son des espoirs de la révolution et des percussions.
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Agnès Varda, 1961
Cléo, belle et chanteuse, attend les résultats d’une analyse médicale. Cléo vit quatre-vingt-dix minutes particulières. Son amant, son musicien, une amie puis un soldat lui ouvrent les yeux sur le monde.
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Fiancés du pont Mac donald (Les)
Agnès Varda, 1961
Un jeune homme voit la vie en noir quand il porte des lunettes noires. Il lui suffit de les ôter pour que les choses s’arrangent
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Agnès Varda, 1958
La Côte d’Azur vue en couleurs par Agnès Varda, qui cultive le mot d’auteur et l’image insolite. Film de commande transformé en un essai sur le tourisme, non sans un certain humour.
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Agnès Varda, 1958
Carnet de notes d’une femme enceinte sur la rue Mouffetard (5e) et son marché. L’Opéra-mouffe nous donne un aperçu de ce qu’était le Paris des années 50, plein de misère, de mort et de vie.
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Agnès Varda, 1954
Un couple sur le point de se séparer, se questionne dans les lieux que la femme découvre, là où l’homme a été élevé, un petit village de pêcheurs près de Sète, La Pointe Courte.
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Au cours d’un printemps pluvieux, une femme de presque 40 ans, Mary-Jane, tombe amoureuse ou plutôt glisse amoureuse d’un garçon de presque 15 ans, Julien, camarade de classe de sa fille Lucy. Mystères des attirances, des désirs et des timidités, errances et erreurs du cœur…