La Sept
• N’existe plus, voir Arte France
Production de la chaîne du même nom créée le 14 mai 1989 et disparue le 30 mai 1992 au profit d’Arte France.
Films dans la base
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Eusebio Serrano, 2000
Le combat d’une petite famille qui tient un pressing familial face à l’arrivée d’un grand groupe de pressing « discount ».
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Bernard Bloch, 2000
Ce film veut témoigner d’une nouvelle catégorie de victimes de la guerre économique. Les " malades du travail " sont souvent des victimes consentantes, qui se trouvent surtout dans des cadres employés par le management. Ils ont pour objectif la course au rendement.
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Gérard Chouchan, 1999
Témoignage de trois femmes d’ouvriers des ports de St Nazaire, Brème et Newcastle qui ont vu, avec la mondialisation, leur vie changer radicalement depuis dix ans.
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Philippe Roizès, 1999
Ce documentaire explore le rap sous tous les angles : phénomène de société autant que courant musical, alternative à la violence et au désespoir, expression poétique, affirmation d’une conscience politique ou recherche d’une identité multiculturelle. Dans les banlieues de Paris et Marseille, à Londres, Berlin et Alger, la culture hip-hop rend parole et dignité à la jeunesse des ghettos urbains.
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Jour où la Guinée a dit non (Le)
Valery Gaillard, 1998
Le 25 août 1958 au matin, un militaire français se pose à Conakry, Guinée. C’est le Président du Conseil et il s’appelle de Gaulle. Toute la population est venue l’acclamer. Mais l’accueil n’est pas seulement chaleureux : il est bien organisé… Au centre du dispositif, un homme : Sékou Touré un Parti : le Rassemblement Démocratique Africain et une opération politique qui va précipiter en quelques heures un territoire colonisé hors de l’empire français. Ce jour-là, la Guinée a dit non à de Gaulle. Elle en paiera le prix….
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Ciné colonial. Le Maghreb au regard du cinéma français (Le )
Moktar Ladjimi, Youssef El Ftouh, 1997
Dès que les films Lumière ou Méliès ont révélé les possibilités du cinéma, la France n’a cessé de nourrir sa politique coloniale dans le Maghreb d’une imagerie de propagande, où le manichéisme le disputait aux grandes envolées civilisatrices. À l’appui de cette théorie, Youssef El Ftouh et Moktar Ladjimi convoquent témoins et extraits de films pour retracer une histoire du cinéma colonial français.
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François Caillat, 1997
Un saga familiale lorraine emblématique parce qu’elle reflète l’aventure d’une région et les aléas de sa prospérité. Elle révèle aussi une étrange destinée nationale : celle de tous les Lorrains qui ont vécu cinq fois écartelés entre leur identité française et leur annexion à l’Allemagne.
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Saga des Massey Fergusson (La)
Jérôme De Missolz, 1997
À travers leur trajet, les anciens employés de l’entreprise Massey Fergusson de Beauvais, qui a fermé ses portes en 1984, éclairent les bouleversements qui ont changé le travail en France et en Europe.
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Marchand, des artistes et des collectionneurs (Un)
Jean-Luc Léon, 1996
En, 1996, après une impressionnante flambée des prix dans le marché mondial de l’art, celui-ci s’effondre. En France, Marianne et Pierre Nahon, connaisseurs du milieu, sont parvenus à ouvrir des galeries dans un contexte sinistré. Jean-Luc Léon a décidé de suivre pendant un an leur parcours, pour mieux comprendre ce milieu très fermé. A travers de nombreux entretiens, il trace un portrait d’un univers où les rivalités et les rapports de forces sont constants…
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Éric Darmon, Catherine Vilpoux, 1996
Depuis plus de 30 ans, Ariane Mnouchkine suit avec sa compagnie un trajet unique et exemplaire. Avec ce film, tout au long des répétitions du Tartuffe de Molière, elle exprime au quotidien sa vie de théâtre. Le film montre les diverses étapes du travail.
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Qui a peur des Tziganes roumains ?
Evelyne Ragot, 1996
Pendant plusieurs mois, Évelyne Ragot suit Leonardo Antoniadis, anthropologue et photographe, dans son travail au sein d’une communauté de Tziganes roumains de la banlieue parisienne. Une chronique sensible, qui illustre la difficulté d’une rencontre entre deux mondes qui s’ignorent et se craignent.
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Andrei Ujica, 1995
En mai 1991, les cosmonautes soviétiques de la mission Ozon, Anatoli Artsebarski et Sergeï Krikalev sont envoyés sur la station orbitale MIR. Tandis que le commandant revient sur terre à la date fixée, c’est-à-dire cinq mois plus tard, Krikalev, contraint par les circonstances politiques, passe près de dix mois à bord…Parti de l’URSS, il revient en Russie…
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Daniel Karlin, Rémi Lainé, 1994
Du haut en bas de l’échelle et aux quatre coins du monde, la vie de Péchiney, géant industriel de l’aluminium et fleuron du libéralisme triomphant avec, en filigrane, le portrait de son président de l’époque, Jean Gandois.
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Alain Tanner, 1994
Un long panoramique du port de Gênes et une voix-off ouvrent « Les hommes du port ». Le commentaire nous apprend le passage en ville en 1947 d’Alain Tanner. Il a 17 ans et assouvit son envie de connaître un pays dont les films néo-réalistes avaient éveillé en lui son intérêt pour le 7ème art. Nous sommes maintenant en 1995 et le cinéaste suisse revient avec sa caméra. Le documentaire dévoile une phase sociale et historique méconnue de l’Italie.
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Luc Bazin, 1994
Ce film évoque le rôle des prud’homies de pêches, des organisations de droit coutumier pour le partage équitable des ressources de la mer et des étangs.
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Edna Politi, 1992
A mi-chemin entre le documentaire et le poeme filme, le film se presente comme une quete. Une enquete a partir du quatuor de Luigi Nono : FragmenteStille, an Diotima.
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Serge Daney, itinéraire d’un ciné-fils
Pierre-André Boutang, Dominique Rabourdin, Régis Debray, 1992
Serge Daney, qui se définit comme un « ciné-fils », fait défiler sa vie et les films qui l’ont vu grandir.
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Bob Connolly, Robin Anderson, 1992
Troisième volet d’une trilogie autour de la tribu papoue des Ganiga en Nouvelle-Guinée.
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Rithy Panh, 1991
Révélé au Festival de Cannes en 1987 avec Yeelen, le cinéaste malien Souleymane Cissé a conquis depuis une reconnaissance internationale. Cissé livre devant la caméra du réalisateur sa passion du cinéma, de l’Afrique et du Monde.
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Robert Kramer, 1990
Robert Kramer s’adresse ici à son complice Paul McIsaac, alias Doc, le personnage principal de « Doc’s Kingdom » et de « Route One/USA ». Cette lettre-vidéo, écrite, tournée et composée à la fin du montage de « Route One/USA », exprime toute la force et la densité d’une amitié de longue date, qui a su trouver un ancrage définitif dans la création de deux films.
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A la recherche du lieu de ma naissance
Boris Lehman, 1990
Le réalisateur Boris Lehman retourne à Lausanne où il est né, à la fin de la guerre, Ie 3 mars 1944. Il y revient 44 ans plus tard.
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François Tosquelles, Une politique de la folie
François Pain, Jean-Claude Polack, Danielle Sivadon, 1989
Ce film, réalisé en 1989, est un entretien avec celui qui fût le fondateur de la psychothérapie institutionnelle : le psychiatre et psychanalyste d’origine catalane François Tosquelles (1912-1994).
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Yannick Bellon, 1989
On découvre dans ce documentaire le Théâtre du Fil, une compagnie théâtrale hors norme, qui propose de révéler la personnalité de comédiens ex-détenus.
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Gilles Béhat, 1989
Vétéran de la guerre d’Indochine, un médecin s’expatrie en Kabylie. Il est partagé entre son amour pour la sœur d’un groupe de rebelles et son devoir de patriote.
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Bob Connolly, Robin Anderson, 1988
En 1988, en Papouasie Nouvelle-Guinée, Joe Leahy, propriétaire d’une plantation de café, vit seul au milieu des tribus papoues. Ce riche métis, fils d’une aborigène et d’un explorateur australien, doit son ascension sociale à l’habileté avec laquelle il manipule ses voisins ganiga (une des tribus papoues).À travers les démêlés de Joe Leahy et de ses voisins, se joue de façon cocasse mais souvent explosive, le scénario de la colonisation…
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Jayne Loader, Kevin Rafferty, Pierce Rafferty, 1982
Avec une illustration très fine des techniques étatiques et militaires de propagande dans les années 40 et 50, ce film propose une interrogation sur l’aveuglement social vis-à-vis de la menace de la guerre nucléaire d’aujourd’hui.
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Jean-Pierre Beaurenaut, 1970
Evocation des liens qui, du début du siècle à l’après-guerre, ont uni Paris et l’accordéon. Extraits de films, décors reconstitués de bals et de guinguettes populaires, interprétations de morceaux à l’accordéon et témoignages d’accordéonistes composent ce documentaire musical, teinté de nostalgie